Après avant-jour=patron-minette, Et que n’étant plus nuit il n’est pas encor jour[1], selon ce fils de soyeux, Lacenaire, le jour est mis. Glow is growing. L’en-ville : il est tôt à Tôkyôto©. Au déjucher et frotte-couille : vile symphonie de la ville folle, Rien que des heures de Cavalcanti (1926), Voi troverete una donna piacente, / di sí dolce intelletto / che vi sarà diletto / starle davanti ognora. Néons inactifs. La ville est comme une femme démaquillée dans le tremblant=lit=panier aux ordures=planche au pain. Les orphelines de Lacenaire, dont Didine Cendrillon aka Casque d’or ou Joséfa la Pierreuse tapinant désormais vers le nœud de routes – logique – ou aux abords du tunnel, près de la gare et de la fac catho à côté du centre psy dont le dirlo prône la castration chimique dans le quartier d’Asakusa, Yoshiwara de La rue de la honte de Kenji, dorment les yeux mâchés. Ciel clair, ecchymoses. Tôkyôto©, la ville, entre Lima, Turin et Lausanne, qui ne dort jamais.
Crash-tests sans frisson à la Cronenberg – via J.G. – ou Carpenter ou Ducournau, où finit mère-grand qui légua son corps à la science, grand bien lui fit. Autos à pots catalytiques – dieselgate -, avant électriques encore plus polluantes selon analytique, quand, grâce à l’intelligence artificielle, l’algorithme biaisé hésite entre tuer un conducteur[2] ou l’asphalteur=inspecteur des pavés=le polisseur d’asphalte=celle qui se bambane=celui qui prend le train d’onze heures, bref un piéton, et, en absence de bruit moteur, nocives aux marcheurs. Partition universelle de klaxons® éclectiques tendant vers l’intonation juste, de bruit d’essuie-glaces, parfois comme les polyrythmies et nuages harmoniques de sons statiques=micro-organismes mélodico-rythmiques des métronomes façon Ligeti (1962), genre Les Temps modernes (1936) de Chaplin, ou Ikeda. Silly symphonies©.
Ville belle, paraît-il. Vol d’oies sauvages sans Nils, ce nihiliste. Fondus, les brouillards industrieux : ville où les solliciteurs de zozottes, adeptes de la théorie du grand placement, sûrs d’eux avec le t-shirt « i ♥ lovés » dansant de conserve en tremblant, en suspension comme sur de l’azote liquide, comme un robot sauce breakdance avant un soupçon de secousses tecktonik à la mode boys bandent – Genius tortoise© issu de la fusion d’Arashi® et Joe 1® – moula hop de Io Io Jupiter Io – to be or not to be 3 – 5 membres fantômes comme les Jackson©, le mc Dojo-le-physique, Akira-qui-rira-le-dernier-le-chanteur-leader, idol avec stalker, Mishiminima-le-jeune,Go-Godzilla-do-ré-le-drôle, Intel-Lo, managés par papy J dit papy art versus Docteur Nô – j pop® dans le cadre du plan de softpower Cool Japan® ; caméras►focus►zoom►centre de surveillance urbaine►policiers dépêchés sur place en un laps -, suite à une énième crise, les actions en yo-yo® à Tôkyôto©, dans les limites fractales©, de Consolited Fuzz à cause du retrait de la famille Addams©, ils sont comptables de leurs comportements – perdus dans les clouds® à défaut de les traverser pour avoir un travail ou devenir un groupe anglais aussi connu que Jésus©[3]. Un data center incendié – cause inconnue -, aucune sauvegarde de secours, panique sur les sites.
Entre brouées poisseuses, Fuzz, hologramme en toge avec œil du pli dans le drapé dans un yurei eiga, se retournant, bégaye, claudique, bégaie – son oscillant et continu : scie musicale, thérémine©, etherphon© et ondes Martenot© ; KŌmori de Fuj||||||||||ta avec résonances d’ultrasons de chauves-souris sur tuyaux d’orgue : le spectre est joué par Shakespeare, ce deuxième Patient anglais vacciné contre le covid en terre d’Angle mort et son variant grand-breton. Chasser le brouillasseux=la crasse avec une bombe au pied-humide, il revient au galop. Au quartier octogonal – comme les unités romaines -, prendre diagonale – le champion mondial d’échecs, un norvégien, ne se représente pas, refusant la concurrence tout en soupçonnant un ancien jeune adversaire de tricherie à cause d’impulsions en langage morse dans une boule anale – en mangeant une crème catalane en songeant à la ville hexagonale divisée en six secteurs par six routes convergeant toutes vers la place principale, hexagonale, conçue par da Ferla et construite, après un tremblement de terre, par le prince de Roccella et Butera, Carafa Branciforte.
Airpocalypse : gorges, nez pas zen, yeux irrités. Les sirènes des premiers mercredis du mois vers midi – loin Dresde en rolling thunder et blockbuster, et son christstollen, pilonnée lors de la deuxième guerre mondiale -, Tôkyôto© sous les bombes selon NTM : végétalisation par les bombes vertes à la Vesper© pour qui végète[4] – dont quelques bombasses, avaleuses de frimas, s’assommant de coca collapse®, hilare à l’aide de la bombe Chantilly®, en chantant, avec une voix suraiguë à cause de l’hélium, du hardcore mélodique puis de la pop décroissante à la Jack the Ripper[5] avec effet à la pédale fuzz maestro sur fond de cata[6] éclairée de Dupuy sans fond en une sorte de Zola Jesus© en bougeant frénétiquement de la tête ( ?:- Michael Jackson, Rap ? Métalleux ? Krautrock !:- Non, Parkinson 🙂 ) avec coiffure à la Cindy Sherman écrasée par un casque pseudo vintage du rappeur businessman=self made man – avec haleine qui danse toute seule tellement elle a avalé ses pieds à défaut de Thomas=fait tomber le rouge=tue les mouches au vol comme du radis râpé=kasumi-ae=mélange au brouillard sur les berges à l’odeur d’urine (318) ; « Tôkyôto© sous les bombes » en bombes de graphs Fuzz sur les murs[7] visités par les bobos comme une galerie d’expo gratos de street art, même les fresques deviennent institutionnelles. Basquiat dans ses basques. Paréidolie : elle interprète des formes dans les nuages, l’eau, la cuvette des wc, la tasse de café, le mug, les pièces de Scrabble© qu’elle collectionne.
[1] La Fontaine Livre X, Fable XIV, La Rochefoucauld, v. 13 ; Ovide, Amours, Livre V, v. 5-6 ; Boiardo, Roland Amoureux, I, XIII, 57 ; le Tasse ; Guarini ; Tristan l’Hermite.
[2] God is my co-pilot© à la place du mort comme celui du col de l’homme mort – sauf autosolisme ou hacking blanc.
[3] Le fameux passage piéton, distinct de ceux d’Angleterre, est filmé en webcam 24h / 24. Abbey road devait se nommer Everest, proposé par McCartney.
[4] Khmers verts en tortues ninja©, entraînées par le clone de Kadhafi et dirigées par Fuzz.
[5] Inspirée de Screaming Lord Sutch en jupette et sandalettes ou arrivant dans un cercueil avec crânes ou couteaux, rejoint par le guitar hero Jeff Beck, candidat marginal aux élections britanniques, notamment à Stratford-upon-Avon et la création de l’Official Monster Raving Loony Party. Débordant d’énergie, les ados s’agrègent en un groupe musical. Ils répètent jusqu’à épouvanter leurs voisins. Un single cartonne. Pleines d’hormones, les filles se précipitent. Ivre de succès, l’ado ne peut plus sortir tranquille. Les paparazzi les poursuivent. Alors l’ado boit, se drogue. C’est la rançon du succès. Le groupe est fatigué à force d’enchaîner les concerts. La vie devient un enfer. Des tensions apparaissent au sein du groupe. Alors l’un tente une carrière solo. Le succès n’est pas autant au rendez-vous. C’est la traversée du désert. Alors le gars se droguasse, boit. C’est la descente aux enfers. Soit le gars se suicide, tente de rentrer dans le club mixte des 27 (Laforgue, Hendrix, Joplin, Morrison, Brian Jones, Basquiat, Cobain, Winehouse) et c’est le jackpot en devenant encore plus connu jusqu’à avoir sa marque sur le Rock and Roll Hall of Fame and Museum Hollywood©, soit il devient un demi-dieu. Dans cette dernière hypothèse, il finira, dans la force de l’âge, par ressasser ses anecdotes dans divers talk-shows.
[6] Français est plus apocope que Procope – cet homme de glace.
[7] Comme une carte de visite à la Arsène-Marius, qu’assène Leblanc, ou Edgar-du-Nord-de-la-cambriole de Miyazaki, comme son Le château de Cagliostro, repris par Morita, sur Défense d’afficher, loi de 1881.