Vomi est mot vie. Travailler son massif périnée – vérité en deçà. Pensée positive comme méthode Coué® : « je séropositive ». Reprogrammation neurolinguistique. Certains pauvres qui glanent après les marchés, dont les patates, à la Varda, se jettent sur les restes de seins coupés suite aux tumeurs. En sus quand le chirurgien Fuzz se trompe de sein. Ajout d’herbes sèches conseillé. Les jours se lèvent, Hum !, les nuits tombent indifféremment. Aux complotistes : le soleil ne se lève et ne se couche pas parce que je le regarde, voilà pour la différence entre lien, corrélation et causalité – ces deux derniers étant sans cesse confondus. Ascenseur soupire. Colonne sèche. Asthme l’inspire. Ennui, durée vécue pleinement comme le sucre dans l’absinthe avec iris absente. Avoir le temps est un luxe selon Apollinerf, surtout quand Cravan conchie la Laurencin. Air sur noir sur blanc. Chaque jour révolu rapproche de la mort dans la vie. Ecouter The death is not the end sur la cassette de The death is not the end sur le label The death is not the end. Depuis la naissance. Vivre tue. Heildegger, ce beauf avec chapeau et chaussettes tyroliens dans sa cahute faussement campagnarde, reprend poncif. Chute des feuilles, chut ! petites morts. Chien à la porte donc. Mort dans vie. Soupirs. C’est écrit. Noir sur blanc.
En quarantaine. Comme ce cheval en cadeau entré au pays sans nom. Pas de Lazare, Balthazar. Fort alarmé, le castor junior© a perdu son couteau Bowie® à Fort Alamo. Au mitan de sa vie, nulle forêt car l’arbre fuyant génère d’Hallé sa propre énergie propre – pas bête Mac, North by northwest avec blonde platine sirote sa fine au nez _résident. Pas dedans tête. Pas de fête. Vivre : ni inconvénient ni un bien – dans pavé Chateaubriand : infliger la vie, soit. Activer sa viande. Difficile d’exister. Etre _______briand ou rien. 14 morts pour un vivant en moyenne mais l’écart se creuse ; la vie est évaluée à 3 millions d’euros l’année de la pandémie 2020 par tête de pipe avant qu’ileli ne la casse entre biens immeubles. Au milieu des meubles anachroniques d’enfance ou récupérés, dans le style design anthropocène, dans la rue, tant grand est le gâchis. Poubelles, bennes, encombrants – comme l’homme, selon l’écologie profonde -, regorgent d’objets quasi neufs. Romantique, ileli déclare avec l’aisance, être Re-né.e : « Yé toi la pou belle ». Merci le préfet, les anses.
Les chiffonniers réapparaissent. La biffe=le grafin=l’hotteriau=le taffouilleux=cupidon. Honneur à la cabane comme structure éphémère, nulle Fiancée du pirate. Tendance. Des migrants survivent, loin Tom Sawyer© et Joe l’Indien©, Mud de Nichols inscrit sur le mood board. Les radeaux médusent – anthropophagie à Jamestown au début du pays sans nom avant génocide. Lesbos – honte de l’Europe selon Ziegler – s’expose avec force mur : Pape y fut, capote à l’Index. Couvertures de survie. Tentes de fortune. Le conseil d’état donne droit à une douche. Le conseil constitutionnel donne le droit à l’examen des os & de l’adn des migrants vivants pour une datation exacte. Droit au sol, jus sanguinis. Pas d’enfants sans toits. Une autre facette de l’urbanisme tactique : salon du mobilier urbain comme ce siège Anti-Confort d’Andrea Branzi ou tronc d’arbre piqué de métal, ce fauteuil éjectable sur ressorts d’Hermann Waldenburg, l’assise en fil barbelé d’Arik Levy ou la chaise One Magis de Konstantin Grcic, graphique avec son assise triangulaire en aluminium, conçue pour que l’assis, mal à l’aise, laisse rapidement sa place à un autre. Une chaise hérissée de vagues ou d’accoudoirs, une banquette de type « assis-debout », avec parrainage personnalisé moyennant finance – comme pierre qu’arrape pour gens au ban -, anti-clochards qui meurent de froid, sont frappés au hasard façon Droogs©, utilisés pour tester des tortures à venir. Pour chasser les jeunes : des lumières spéciales pour mettre en évidence leurs boutons ; des sons répulsifs que seules les jeunes oreilles peuvent percevoir. Où est la patrie des droits de l’homme, où ? Ça matche, ça switche ; avant on réparait. – On est un con -. Tout se jette, obsolescence programmée ou non, même l’amour, même l’humain – pas que les clones.
Hétérhomo : hommes & femmes attirées. Sol-sol, sol-air. L’ambiance est au poussy-couça. Mode bi voire wasabi – rose trémière, même de montagne, pousse sur le fumier -, sinon, t’es pas in – mais il faut dire désormais gender fluid. A voile et à vapeur, dans le même bateau. Le rose fut mâle chez les aristos, le bleu féminin, inversion des valeurs comme la bouillabaisse, mangée par Napoléon. Infâme code civil pour les femmes. A quand un salaire égal à compétence égale ? C’est à Tôkyôto© qu’avait œuvré la première femme bourreau. Les féministes luttent pour l’égalité entre les prises mâles et femelles. Marre de ces bons contes, cruels et genrés, – princes et princesses se marrèrent, vécurent enfant et eurent beaucoup d’heureux – ne faisant pas de bons amis, serinés depuis l’enfance. Elles luttent contre le baiser non consenti de la Belle au bois dormant par le prince qui en pince ; cancel culture. Blanche-Neige en gang bang avec les nains, dwarfs warf ouarf. Perrault cruel périmé. Elles se battent contre le barbecue perçu comme viril car le mot contient « barbe » ou Q dans BBQ. Elles manifestent pour le climax. D’autres arborent ce panneau : « La vie est trop courte pour se raser la chatte. ». Quand elles – féministes radicales et écologistes – prônent la déconstruction de l’homme, elles rejoignent le totalitarisme dont la visée est l’émergence de l’homme nouveau. La théorie du lion consiste à ce que les hommes favorisent le fait que leur femme travaille dans des postes à responsabilité pour, eux, moins travailler, s’occuper de la vaisselle, de la lessive et des enfants, avoir une meilleure espérance de vie, avec moins de stress malgré la surcharge mentale, en fumant moins. Emoticonne homme enceint[1]. Leur féminisme s’arrête en haut des marches d’un grand magasin de vêtements. L’une renie les œuvres de tous les hommes pour ne se nourrir que de celles des femmes. Troisième sexe – neutre – pour quatrième dimension. L’avenir est androgyne[2] à cause du réchauffement climatérique. Un inverti est-il un extraverti introverti ? ♫ Etoile des gènes. Androscène ; anthropocène. Théorie du climax.
Je t’aime : performatif intransitif ne souffrant aucun adjectif ; comme « made in China », n’apporte aucune garantie. Nul Don Juan pourtant. Commandeur cloné. Indifférent.e. aime le beau. Des enceintes. A la masse ? Trouple perceptible sur son visage : trouble dans les genres[3]. Elles : hommes immatures, trop d’ego, toujours en avant, à se valoriser, maman trop, infidèles, pensent queue, rationnels, manquent d’empathie & d’écoute. Petite typologie des mâles hétérosexuels après #MeToo de Chloé Delaume : relou, couard essentialisé, verrat visibilisé, réactionnaire en sandales, masculin révulsé, séducteur en laisse, « purple fucker », faux allié, ouin-ouin, flippé, fabriquant de déni, éveillé tardif, ver galant, Je-suis-féministe-mais, géniteur dessillé, dépatriarcalisé. Il faut beaucoup aimer les hommes. Râle, sève ! Il se fait agrandir le pénis, allonger, à Las Vegas, Montréal ou en Turquie en low cost, les jambes – implantation d’un système autour d’un clou, allongé via une télécommande externe par le patient lui-même, dans le fémur ou le tibia et le péroné, s’appuyant sur les principes de distraction osseuse par régénération découverts par le soviétique Ilizarov et son fixateur, cette cage ronde métallique composée de tiges qui percent le membre -, avec risque de mauvaise union de l’os, infection ou embolie, passe son temps en musculation pour torse bomber et pectoraux affleurer, Bombez le torse bombez ! Prenez des forces bombez ! Ça c’est my way, se fait poser des implants capillaires à Istamboul, refaire les dents en Hongrie. Elles abandonnent les couettes comme des rideaux bonne femme tenus par des embrasses, elles aiment être dessous mais plus à n’importe quel prix. Carne : coq-porn partout. Utérus, organe sans âge, générerait des hystériques où les femmes étaient manipulées, par Charcot et d’autres, à coup de cérémonial autour du baquet de Mesmer. Avant-garde et arc hystérique : Sarah Bernhardt puisque des actrices participaient au bal des folles à Saint-Anne, femmes de Mucha, postures de la chanteuse Y. Guilbert. Papillomavirus. Hystérectomie. Endométriose. Congrès de la vulve à Copenhague avant le syndrome de Stockholm. Des clitos – détectés par Soranos et Rufus d’Ephèse[4], là où la femme-fontaine ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve selon Héraclitoris – en 3D, comme un sot-l’y-laisse, en boucles d’oreilles ou en sculpture de rond-point. Au troisième millénaire, une cinquantaine d’années après le premier pas sur la lune, découvrir enfin[5] que le mamelon du diable=clitoris=la nymphée=lampe amoureuse=praline=petite éminence, ce bonnet d’évêque innervé comme le gland mâle, mesure une dizaine de centimètres – à clitoriser. Terrible excision, mutilation pratiquée sur le seul organe féminin consacré au plaisir. Humains (dys)fonctionnels. Les hommes chaussent des souliers dont les bouts sont offensifs à taper dans les parties de l’adversaire ; les femmes portent des faux ongles longs comme ceux des princesses chinoises. Les fonctionnaires ponctionnaires fonctionnent – comme ils peuvent. L’intelligence artificielle dépossède de la virilité dans les travaux physiques du type manutention. Heureusement, nous sommes en train d’en finir avec cette mulierbrité où « Les femmes sont soupières, c’est dire l’importance du plumeau ».
Eux : elles ont des problèmes avec papa, trop voyeuses[6], trop dans l’émotion, parlantes, doutes, compliquées, besoin d’être rassurées (homme = doudou ou bouillote ?), jamais contente de leur physique ou trop, surcharge mentale, dépensières ; « les emmerdantes, les emmerdeuses, les emmerderesses » selon Valéry qui a souffert à la fin de sa vie à cause de sa maîtresse libérée. Toutes ne sont pas des Cannary. Elles intériorisent les pncifs masculins dans Sois belle et tais-toi de D. Seyrig : femme = soins.. Il faut beaucoup aimer les femmes qui sont l’avenir de l’homme. 😕 Et mes rognons, tu les aimes mes rognons ; mon poumon, tu l’aimes, dis ? Se passer ses cheveux plus ou moins longs entre les doigts. L’œil dit américain se meut vite=ginginer comme le chante Bowie, le champ de vision est plus étendu pour la sélection du mâle : elle mouchaille, renucle. Atroce regard oblique=à la borgnette bloqué du poisson mort=quart d’œil entre faux cil, eye-liner et mascara – France, championne de la cosmétique ; spécialité française – mater sans être observé, hypocrisie ou torticoli=tortcou élevée en art comme politesse. Se teindre les poils du nez, gonfler les seins, fesses ou lèvres, refaire les grandes lèvres du « derrière du devant »[7], liposucer – une infirmière mexicaine s’est tuée en tentant de s’autoliposucer -, ravaler la façade, blanchir son anus qu’elle aura fait toutefois bronzer en diverses contorsions de yoga puis le mouler en chocolat qu’elle mangera et offrira pour la Saint Valentin. S’accepter comme best-seller. Malentendus : Mars mal Vénus[8], l’un dans l’autre ; exoplanètes par milliers – Copernic sa mère. Est ainsi soit-il. Sommes os & eau. Mosper Périmé, loto du patrimoine dérivé de son but : ravalement de façade à la duchesse d’Albe pour la cougar, parfois dès l’adolescence, cet âge cochon. Ne pas aimer les flatteries. Apprécier les mûr.e.s – pour un homme, un peu comme les chiens, avoir 70 ans correspond en valeur médiane à l’adolescence mentale. Libéré.e.s d’obligations. Sous pressions. Trop de tabac, seule égalité réelle gagnée par les femmes : vivre moins longtemps, baisse de l’espérance de vie durement gagnée, poumons ravagés, crises cardiaques. PMA, avoir un bébé toute seule – l’homme n’est plus or mais hors -, GPA. Homme : que géniteur ? Le père s’éclipse partielle puis totale. Parent 1, parent 2 = parent d’, parangon de la modernité. Jeu du chat et de la souris. Garder ses chaussettes pendant augmente la possibilité d’orgasme, avec fort ambitus, qu’elle simule d’après IRM, scanner. Les bottes près du lit : promesses. Fini bukkake.
Se plonger en taches blanches de crépi écru comme nuages. Fixer. Répulsion en swinging London grammar. murseressèrent. Un couloir de bras-chandeliers de Bérard à La belle & la bête. Position d’odalisques ; creux des reins, clef des songes sur fond de contrebasse. Café du commerce, conception femme-homme. Sommes bien peu. Pas compagnon ou compagne : impôts frappent (animaux décimés, air irrespirable, armement nucléaire) – réduire empreinte carbone, ginks=nul enfant car, Swift[9] is green, bonus Malthus, réduction de l’émission de CO2 égale le recyclage des déchets par 700 adolescents pendant toute leur vie, 180 000€ économisé en moyenne. Etiquette femme, pression sociale : nullipare, corbeau. Bombe démographique, transition.
Pas de voiture, pas de portable, pas de tv, pas d’ordi : une personne AZERTY en vaut deux, Jean-Christophe.Ileli est membre du Luddite club où le smartphone est banni. Inscrit.e à aucune asso. Aucun sport, revendique l’asthmatique fumant un Churchill. – J’adore quand un plan se déroule sans accroc répète Peppard avec son barreau de chaise dans la bouche dans Agence tous risques, le même que dans Déjeuner chez Tiffany’s avec la fée Audrey et le cabotin Rooney -. Premier et dernier rendez-vous chez le psychiatre scannant du regard le manteau noir à la coupe stricte : « Pas de compagne ou compagnon, pas d’enfant, pas d’animal de compagnie, vous avez raté votre vie ». Le synesthésique russo-franco-germano-americano-suisse, épiléptique, avait raison. Les psychiatres sont les derniers classés, avec les pédiatres, en trop faible nombre, et la médecine générale – reconnue tardivement comme spécialité -, de l’internat (ECN) de Médecine, voilà qui est rassurant ! Pas de responsabilités, nulles contraintes. Etre zéro, kamikazé. Un Dude. Le grand rien du grand tout. Parti de rien, arrivé.e à rien. Hikikomori=retirant=syndrome de Bartleby te salutant comme dans De l’autre côté de la porte de Thrush.
La plaque électrique fait masse. Les plombs sautent. Hamlet par Castellucci. Véhémente extériorité du mollusque qui s’exerce à plier l’espace-temps. Tous se drogassent : trop d’anxiolytiques partout, B.Z.D. notamment (C9H8N2)[10], kétamine remplace Prozac®. Le ronronnement du chat calme paraît-il, comme le cheval ou le bébé phoque robot pour quinquado ou les doudous=objets transitionnels de femmes adulescentes – la vie s’allonge surtout pour qui est né un 29 février (c’est le meilleur mois car c’est le plus court=moins de bêtises sont dites).
Les félins prolifèrent. Certains sont utilisés, comme du temps de la guerre froide où le pionnier se fit écraser d’entrée, pour espionner avec l’aide d’implants. A l’instar de la Chine, le gouvernement instaure la politique du chat unique à cause d’écosystème déséquilibré & de raréfaction des oiseaux. Les heureux félins sont fixés : FELIX. Les chattes, trop en sinanthropisation, se suicident en masse. Un ingénieur s’ingénie à torturer son chat : condamné. Depuis Da funk, les canidés pullulent. Ils se sont révoltés à l’hémisphère gauche sud, téléguidés par Fuzz. La rébellion est circonscrite même si les CRS mâles, de glace, se sont portés pâles car ayant mal à l’épaule nord à cause du burn out. Trop de médicaments, trop d’animaux.
Voir en face. Psyché réfléchit trop. Vivre in naturalibus. Peeping tom n’aime pas se voir. Rear window, les fenêtres sont des cases d’échiquier – une veuve, cette fille qui danse devant son écran, un macho sur son vélo d’appartement puis son babyfoot sur son balcon, une poitrine généreuse en aube d’été chaud & clair, un jeune couple nus à la Masaccio juste après l’amour, une femme sur son balcon en pleurs à cause d’un burn out et surcharge mentale devant ses deux enfants qui la regardent sans comprendre -, pas de cour, pas de chien déterrant des ossements humains, L’Homme de fer a fait son coming out, nul Arizona dream. Playtime again, Sam. Des vieux trompent l’ennui derrière leurs rideaux. Les miroirs sont condamnés. Play it against, Sam. Ne pas être photographié pour ne pas avoir l’âme aspirée. Tout est image. Encore moins s’entendre. Etre quadra – cercle. Ne pas s’étendre. Face-à-face.
Eau & gaz à tous les étages, Sokolov. Magnéto, Serge. Un nouveau compteur d’électricité, dénoncé par la Cour des Comptes, et d’eau malgré des détracteurs. Enième théorie du complot. Des on-dits. Les imbus éclatent. Outre les ondes hertziennes à modulation de fréquences, vu à l’origine comme maléfiques, baigner dans les ondes électromagnétiques. WIFI is WTF. Vivre avec un sac plastique cancérigène et non biodégradable sur la tête pour protéger des ondes : 8e continent. Perturbateurs endocrinières même dans les cheveux en quatre sur la soupe d’écolos. Pas de cellulaire et d’étrangers exploités dans les mines, parfois clandestines, dangereuses – cyanure, lithium, cuivre, silicium -, pas sous l’oreiller adonc avec le manque de sommeil, en chute piéton chut !, au resto avec comparse face-à-face devant l’écran idem, sans discussion continue. Rebel, rebelle. Apprendre à voir, flâner. Océan technologique. Métier Jacquard dont les cartes perforées servent pour des œuvres contemporaines abstraites, des motifs de robes ; révolte des cervelles de bombyxiers=canuts. Luddisme non ludique, Rage against the machine, Thiers, Guizot.
[1] Le planning familial a suscité une polémique à cause d’une affiche avec un trans enceint.
[2] Se référer de la statuaire grecque jusqu’au chanteur Anthony Hegarty / Anohni en passant par les « onnagata » du kabuki, l’opéra chinois, Shakespeare, Louise Labé, le castrat Farinelli par Barthes pour la guérison de la léthargie mystique de Philippe V ou au cinéma, une photo de Nadar, la pensée du Sâr Joséphin Péladan, – ce « prêtre de l’idée », envoyé du Mont-Salvat et du Chevalier du Graal, distinct du Sâr au palais d’hiver où les protagonistes étaient ivres après un dîner chez Marius, un bouchon.-, les suffragettes, les flappers, Orlando de Woolf, Fil d’or de Suzy Solidor, La grande illusion de Renoir, le cabaret, berlinois ou parisien, les glams Bolan de T. Rex, Bowie et son acolyte K. Nomi, Certains l’aiment chaud de Billy Wilder (Some like it hot, 1959), Phantom of the paradise de B. de Palma (1974), le groupe Indochine, Titane de J. Ducournau (2020, Palme d’or).
[3] « All gender is like drag, or is drag. » (« Tout genre est semblable au travestissement, ou est travestissement. » (Butler, Ces corps qui comptent : De la matérialité et des limites discursives du « sexe ». Paris : Ed. Amsterdam, 2009. p. 236, traduction par C. Nordmann de Bodies That Matter : On the Discursive Limits of “Sexe”. New York : Routledge, 1993. p. 234 in Marty, Eric. Le sexe des modernes : Pensée du Neutre et théorie du genre. Paris : Seuil, 2021. Fiction et Cie. Note 4. p. 233). L’angle mort de la pensée de Judith Butler, valet à la Woodhouse, de sa propre pensée, c’est le trans comme le souligna le Fuck you Judith Butler de cette trans FtM. Pour elle, la dynamique de développement n’est qu’un calque du management assassin : agency (capacité d’agir), empowerment (autonomisation), enabling (encapacitation).
[4] Hippocrate, Galien et Vésale, corrigeant les erreurs de Galien, n’ont rien vu contrairement à l’italien Eustache, le lyrique Colombo – le Colomb du clito passé à côté de cette terra incognita – et surtout Fallope. Ne pas oublier les bulbes du vestibule.
[5] Que dire sur la petite prostate féminine. La femme-fontaine reste un mystère non élucidé pour l’heure.
[6] Soit elles sont complexées à cause de leur éducation ou la dictature de la mode façon photoshop, soit elles paradent.
[7] Cette expression proviendrait du baron Dudevant – mari divorcé, à la demande et à l’avantage de la dame qui aimait, comme son mari, tout ce qui avait trait du derrière – de George Sand.
[8] « Fielding nous dit que l’homme est de feu et la femme d’étoupe, et que le Prince des Ténèbres les enflamme. » Dickens, Charles. Les papiers posthumes du Pickwick Club, Chap. VIII. Traduction de Sylvère Monod.
[9] Modeste proposition pour empêcher les enfants des pauvres en Irlande d’être à charge à leurs parents ou à leur pays et pour les rendre utiles au public, écrit absurde de 1729 du prêtre irlandais présent dans l’Anthologie de l’humour noir (1940) de Breton.
[10] Valium© est la star.