Croiser sans fréquenter. Ami.e.s et couples avachis sur leur cellulaire-aux-métaux-rares-arrachés-dans-mines-clandestines, avec nomophobie, devant leur verre Duralex® sed sex de chez Pyrex® au grand réfectoire où subsiste encore leur écho que subsume la cuisine d’inspiration créole de Ravin avec la mode de la cuisson à basse température payée sans contact, comme l’amour et les fantômes nippons – nagori. Ils ne savent plus voir : ni au-dessus – cette plaque satanique d’ancêtre de Fuzz ; une autre, dans un resto de luxe, du guérisseur star[1], de l’hémophile tsarévitch, où il fabriqua son héliosine -, ni devant – cette dalle rouge du président[2] rebouisé (cher acteur du TNP), dans son landau à coups de poignard[3] par l’anarchiste italien et néanmoins boulanger vengeant l’exécution de Ravachol lors de l’expo universelle où les personnes des colonies étaient capturées et exhibées dans des cages, cela allait de soie -, encore moins autour. Heureux qui communique selon du Bellay. Communiquer n’est pas échanger. Moshi moshi. Des cabines téléphoniques végétalisées, devenues au mieux des boîtes à livres, abandonnées, taguées, enlevées.
Des spectacles en plein plein air, très sol-sol, pour occuper l’été : du baroque dans les parcs – Shaft à voix de castrat ; 25 000 spectateurs sans raquer sur pelouse interdite pour du Dvořák, inspirant Initials BB du point G. avec vue uniquement sur la moitié de l’orchestre symphonique et parlotes GenZ pimentées de force castagnes de spectateurs masquant la vue par paresse et individualisme malgré protestations – gueule et sifflets; retransmission sucrée de l’opéra pour tous ; projections de films – parfois depuis une péniche -, des concerts en île. Un javelot transperce une voiture – !Simca !Simca Lelouch par Tarantino – en double tonneau à la belle Zoë Bell au milieu du boulevard : Royal de luxe©.
Le 22 fév.1526, fête de Fuzz, chaire de Saint Pierre, Meriadeg, Saint Bernard après l’extinction de chandelles et de cloche en détestation sonne : Dario, Dario, von Sydow dare-dare dans le parc, exorcisme par Portalenqui avec l’abbé de Montalembert sous François II de Rohan sur l’esprit frappeur – margaude=lève-groin=poutrône feu sœur Alice=Alix de Theizé=Télieux[4] qui tac-tac-tac cognait sous les pieds et genoux en traçant de nuit, le signe de croix sur le visage effleuré, alors que le chien jaune de Basketville, venu de la Drôme, rôdait dans la nuit avec ses yeux de feu – en riche femme damnée=tâtant de la brioche infernale Antoinette de Glosée, où les poules du licencieux couvent – ratichonnière Saint-Pierre-les-Nonnains, devenu palais (des Arts, Saint-Pierre) puis musée (Saint-Pierre)=MBA – couvent – avec des fœtus et des cadavres d’infanticides dessous – après déni de grossesse comme dans La maison de la rue en pente – retrouvés après la destruction par le protestant baron des Adrets. Des partouses sataniques de l’abbé Boulard[5] ; gare au traité de sorcellerie Vauderye en brief sous Charles VII et à l’échec de l’inquisition dominicaine quant à la chasse aux sorcières et leur sabbat. Quelle idée de nommer sa fille Häxan selon l’étrange film, censuré, de Christensen. Des messes noires dans les recoins.
Rituels sataniques de Fuzz. Les féministes manifestent encore contre la venue du réalisateur de Rosemary’s baby[6], où Mia-Maison-des-bois prépare, en chantant sur une musique de Komeda, comme Ophélie qui ne fait pas d’Hamlet aux huîtres à la taïwanaise sans casser les œufs, du romarin dans le Bram(Stoker)ForDakota, près de Central park Sodome, vers l’Annie Lennox Avenue, là où Lennon fut assassiné par Chapman qui fut au premier rang de la pièce Elephant man dont le rôle-titre fut joué magistralement par Bowie, et divorça par téléphone pendant le tournage avec son (ex-)mari mafieux, The Voice[7], Franck psalmodié dans une rave des Nuits sonores par Miss Kittin & the Hacker.
Fleuves deux, quais aménagés. Masculin féminin. On ne se bugne jamais dans le même fleuve. Tôkyôto© est 1 des piliers du triangle ésotérique de magie blanche Turin-Prague, qui en croise un autre, plus sombre. Franc-maçonneries puissantes, loges en stock. Le soyeux Willermoz, maçon spéculatif, créa la loge des Maîtres réguliers où il acquit le grade de chevalier de Saint-André, ainsi qu’une autre loge, avec son frère dans le Midi, le chapitre des chevaliers de l’Aigle Noir, avec l’hymne bien connu de Barbara, évitant les griffes de Cagliostro avec son rite égyptien dans la loge « La Sagesse » puis La Sagesse Triomphante, pour rejoindre le culte des Coens de Martinès de Pasqually et y acquérir le grade de commandeur d’Orient et Occident avec la charge d’inspecteur général de l’ordre des Coens, puis il fonda la loge La Bienfaisance en lien avec la Stricte Observance templière des barons allemands Hund & Weiler et la loge, grâce à l’alsacien Salzmann, des Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte, avec le grade de Grand Profès puis la franc-maçonnerie Rectifiée depuis le Convent de Wilhemsbad, la Société des Initiés puis la Loge Elue et Chérie de la Bienfaisance. Casanova a traîné icigo dans une loge. Tous s’intéressent au cas de la somnambulique Jeanne Rochette et de l’Agent Inconnu=Mme de Vallière=Marie-Louise de Monspey. Mesmer, préfigurant l’homme de la Berggasse après Charcot dont il fut l’élève, avec sa loge de l’Harmonie Universelle fondée avec l’avocat Bergasse, qui paradait en toge en soie et chapeau pointu sur fond d’harmonica de verre, serait venu à Tôkyôto©, peut-être pour y montrer ses passes magnétiques, autour du baquet contenant des bouteilles remplies d’eau magnétisée[8] sur un mélange de verre pilé et de limaille de fer avec rajout d’aimant, de plantes médicinales[9], où les femmes, après avoir touché les tiges en métal tout en mettant la corde sur le creux de l’estomac ou autour du poignet ou de la cheville, se pâmaient dans des chambre de crise où les valets-toucheur en profitaient pour les peloter. Le marquis de Puységur, en bon disciple, affilié à la loge La Candeur de Strasbourg pour y créer l’une des premières loges Rectifiées avec la Société Harmonique des Amis Réunis de Strasbourg, propagea la bonne parole, générant fluidistes, animistes, psycho-fluidistes, sceptiques et spiritualistes. Succède au spiritualisme magnétique de Tardy de Montravel et du Chevalier de Barberin, le journal Le Somnambule, journal de magnétisme du spirite Possin, diffuseur de magnétisme d’école du Dr Billot. Les convulsionnaires se réunissaient à la janséniste. L’Athénée a cru. Le théosophe Ballanche, proche de Récamier, Chateaubriand, Sainte-Beuve et Ampère, nourri de Boehme et de Saint-Martin, fonda la Société chrétienne à base de philosophie romantique allemande. Et Jacques Aymar, Pythonisse, Madame de Thèbes. (Léon-Hippolyte aka Allan) Kardec à l’école du franc-maçon Pestalozzi, de la loge La Tolérance, pénétré de rousseauisme – sa société et sa revue spirite – sont dans le Kardex®. Le visionnaire Vintras célébra ses « messes rouges », reprises par l’abbé Boullan. Le journal spirite s’inspire du curé d’Ars et du père Chevrier, fondateur et chef de la communauté du Prado avec ses prêtres pauvres. En face de la Fédération spirite, réunissant la Société Fraternelle de Sausse, le cercle Amitié et le groupe Chevalier-Deprêle, s’opposent les Indépendants avec la fédération des Spiritualistes Modernes. Mme Combes, médium spirite, ouvrit un nouveau cercle par écriture automatique, la société Jeanne-d’Arc avec recueillement, les passes magnétiques et la chaise avec incorporation où se manifestent les esprits des ténèbres, les esprits familiers et les esprits-guides. Puiser dans le Centre de doctrine et de sciences spirites Allan-Kardec. Le gnostique Thiellement, exégète des ronds-points, tourne de l’œil devant la fresque au-dessous de laquelle le boulanger, marié à une cubaine, est mort en poursuivant un client malcommode sortant en courant de la boutique – le cœur lâcha.
En DUMBO de Crooklyn sur fond de Cass(i)us Belli, L’Animalerie, Bavoog Avers, Oster Lapwass, Chilla, Sasso, Les Enfants Sauvages, Ming8 Halls Starf, Mazoo, Pifi, Lyonzon, Zeguerre, Vrax, Robse, La Famax, Vax-1, KLM, 666, 667-669, RA2Z, Pouya ALZ, d’IPM : autour d’un quartier envahi de magasins de bricolage, un Petit avec des grandes oreilles écoute, chez un disquaire ayant miraculeusement survécu, le son d’Homard violet, de Starshooter, d’Haine Brigade, de Garlic Frog diet, Crazy skankers, Marie et les Garçons, Straight Royeur, d’Electric Callas, de Carte de séjour ou art de jouer seC d’un groupe qui splita l’année du bicentenaire de la Révolution française, Bananas at the audience, Kabuki Buddah, Chevignon, Binaire, Mensch, Brice et sa pute, Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp, Bye bye Dubaï, Venin carmin, Tôle froide, Le peuple de l’herbe, High Tone, le grunge Mudhoney et son maxi Superfuzz Bigmuff sur Sub Pop, Fuzz, ce groupe de hard rock jouant en generator show dans un tunnel abandonné avec la guitare alerte de Ty Segall, les labels Arty farty, InFiné et Jarring effects. Pas assez de koto à Tôkyôto©.
Sos amor et la verte=gonorrhée à Sodomorrhe-sur-Babylone more : échangismes dans les coins en adéquation avec l’idéologie politique et économique, La vie sexuelle de Catherine M., jalouse, pionnière du droit d’importuner en temps de #MeToo, avide de viol pour prouver sa résilience, aimant vit et directrice d’Art press-purée venue voir derrière les jalousies la directrice des Beaux-Arts. Ayant trop le feu au cul, la boîte à culs, trois étoiles dans GQ, flamba=en charbonaille dans la presqu’îl de la belle ville en archipel, trop d’îles flottantes avec l’orgue de barbarie. Traczire dans le bouic. Rue de l’épée, un club d’arts martiaux, anciennement un lieu d’accueil de bordeliers=bobinard=cambrouse=bouc=garcerie=beule=claque, parmi 32 dont 26 maisons de RDV, moins regardantes, le Panier fleuri pour ne plus compter fleurettes : coursive intérieure supérieure pour plonger voir s’il y a du monde au balcon avant de tester la marchandise – Palper là cet épiderme / Qui fait que je me dresse; sur la façade extérieure, le balcon, loin du pont des soupirs, attenant aux appartements de la baillive=maquerelle. Possibilité de laisse is mord pour l’option d’un S.M. minimal ; « J’ai d’autres chattes à fouetter. » dit la maîtresse Jeanne de Berk[10]. Sans omettre les rapports d’émigré.e.s de Gomorrhe dans l’immeuble de rapport vers l’avenue Q près de Ginza street. Pas de J’accuse aux jacuzzis. Feu au QG, coups de Fuzz. Emprunter le pont d’échangisme pour fouler une petite île verdoyante, contenant une belle église partagée entre plusieurs appartements, où l’échangisme en plein air se pratique 7 jours sur 7. Comme Casino®. Se sustenter d’une tarte à la praline chez Ejacteur.
Les pistes cyclables[11] sont partout – étendues temporaires=coronapistes pendant les pandémies quand tout va à vé-lo. Inondables malgré normes. Piétons perdus versus mob et mode doux à tout va. Les verts virent les boîtes à livres d’occasion, malheureusement pas classés Unesco, pour les pistes : le monde doux aura la peau des romans durs. Les boutiques de réparation de vélo pullulent comme les cafés-vélos où il est possible de se lover moyennant lovés. Les trottoirs végétalisés débordent en ZFE.
Dans le métro – !: Attentifs ensemble -, les médiateurs guettent pour éviter les piétinements et écrasements des rencognés qui ont la comprenure difficile lors des heures de pointe – un mort déjà, poussé par Fuzz. Le lapin Serge s’épuise à clamer dans l’indifférence Fais attention. Tu risques de te faire pincer [au cul] très fort. Une religieuse portugaise défroquée, concurrencée par les familles roms, qu’elle jalouse d’un racisme à fond catholique, vend des canettes pour son frère dépendant d’opérations chirurgicales coûteuses, à côté de dingues sortis d’hôpitaux psychiatriques ou de jeunes désœuvrés. Beaucoup prennent exemple sur Chirac – qui ne prenait jamais le métro, comme Balladur, Kosciusko-Morizet ou Pécresse en campagne, sauf pour la pose, cela va de soi – pour éviter de payer en surmontant le tourniquet d’entrée ou en passant à travers les portes derrière vous, en vous collant tout en assurant vos arrières, les jeunes vous tançant si vous n’acquiescez pas, certains demandent la permission – les français seraient plus coopérants que les allemands. Les femmes – l’une a un t-shirt rose fluo : « l’amour est déclaré » – se mirent dans la vitre en face avec force grimaces. Damoches et damottes. L’odeur de livres neufs des corps aseptisés à cause de l’identique lait de corps détraquant tout parfum et le corps à cause de perturbateurs endocriniens. Elles causent des bleus aux alentours à cause de la vie indépendante de leur sac à main ou accessoire, comme bombarde, à marqueur social, où ce qu’elles cherchent se situe forcément au fond. Les bouches pincées se mordent de dedans la bouche – visage plastique. Une femme-araignée roumaine, marchant sur ses moignons inverses, quête. Ça mate en triple bande. Nombreux déblatèrent en soliloque logorrhéique. Tou.te.s autistes=zombies avec casque, avec portable ou non, les hommes exhibant leurs couilles autour de leur cou ; en mains, souvent féminines ou autistes reading, des livres parfois[12]. Seuls ensemble. Distribution quotidienne de journaux gratuits dirigés par des épiciers fortunés pour conditionner – A quoi ça sert qu’ils se décarcassent ? -, Fuzz l’a compris : forger l’opinion. Obésité généralisée – non prévue dans les places de transports en commun -, solutions propophiles pour le deuxième cerveau. L’amplitude de l’écartement des jambes masculines=manspreading, souvent gênante, est supérieure à celle des femmes même si Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie et les pellicules de cinéma recyclées en talons de chaussures.
Dans une voie de garage, une dizaine de personnes ont disparu, jamais revues comme entre Charing cross et Temple dans l’underground avec culex molestus de Deep end ou dans L’attaque du métro 123, ce remake de Tony Scott, ou la station fantôme ou désaffectée Arsenal, Plaine des Jeux car puits de descente du tunnelier Agathe, la station Lortet ou, à la Subway de Besson, la « station cinéma » sur la liaison entre la ligne 3 bis et 7 bis, près de la station Sans sushis près du lac artificiel de Biwa à Shiga, peuplé de butors, où est né le sushi[13] : enlèvement par Fuzz moyennant monnaie. Des rats, mutants, se sont échappés de l’animalerie du labo de la Fac de Médecine, se multipliant comme blobs et Gremlins©, et grossissant grâce aux manips génétiques de Fuzz ; ils envahissent par escouades malgré les produits d’hygiène toxiques. Le joueur de flûte d’Hamelin© meurt d’une overdose d’héro comme Ziggy, pas la poupée Mattel©. Du gaz sarin dans les rames de métro de Tôkyôto© à la station Kasumigaseki, au croisement de 3 lignes, sous la direction de Fuzz[14] à la tête de la désinvolte et sweet secte apocalyptique Aum Shinrikyo-Aleph et ses « ventes spirituelles » aux adeptes à prix exorbitants de produits de faible valeur éclatant en scandale : 14 morts, 6 000 intoxiqués. Mais pourquoi les kiwis m’empêcheraient-ils d’être sarin ? Dodo disparu, regénéré par ADN.
Un couloir souterrain, condamné depuis le passage du métro, surveillé par les little red cornettes dans la guérite, pour les patients passant de vie à trépas entre l’hôpital et le médico-légal amphi Lacassagne avec une forte odeur d’autopsie[15] où des scènes de polar comme Les rivières pourpres de Kassovitz ont été tournées. Parfois le solliceur de lacets=balai=chandelier=QRM 22=gendarme accompagnateur tourne de l’œil. Le grand réseau souterrain reste inexpliqué : les arêtes se prenaient par la rue des Fantasques – dépôt de monnaies romaines, couloirs secrets pour l’armée, tombes, trésor des Templiers ou autre ?
Rendez-vous clandé du speakeasy Fuzz avec force chandeliers. Après EnCuledo®, jeu d’arcades : passages=allées pour celles et ceux qui pratiquent le plus vieux métier du monde, passe-murailles=espions maussades aux initiales de mauvais whisky, de dissidents chinois[16] hush hush aux scores sociaux au crédit négatif visible par tous, suite à l’édiction d’un kompromat, après les Résistants very hush hush, RDV avec X. Rue Constantine, rue clandestine.
Icicaille : secret des cours. Vidéosurveillance intelligente dont caméras-dômes – focus. Des rebel.le.s avec du scotch noir ou du maquillage dazzle asymétrique sur le visage, maigre tribu en degré de liberté, pour parer le pointage, l’identification faciale – fleuron français : des clowns tristes d’une tribu amérindienne inconnue ; Raoni reste sans voix avec plateau labial bloqué, Sting s’est cassé la voix déjà fausse – Message in the bottle. Fuzz use de split screen façon Conversation secrète de Coppola et Phantom of the paradise, Blow out, Snake eyes de de Palma. Identification faciale, à l’iris, visage, voix ou par le microbiote intestinal, par les selles, par le phallus pour la prédiction des criminels – K. Dick K. Dick – avec algorithme biaisé de racismes, dans la ville où naquit la police scientifique par le médecin, amateur d’opérettes et opéras, hématophobe[17], à l’origine de l’association du Merle blanc. Bombe artisanale Fuzz en safe city friendly dans la grande rue commerçante malgré. Tolérance zéro.
Une fille violée par Fuzz, pote des Droogs©, qui prit son pied au pied des tours, érigées par Zizi Béton, qui bandent de tourbe de cravatés en face de la gare ; pas loin, vrille=Woolf[18], une gendarmette=fuzz a sa meuf violentée par des bandes d’adotes au cutter, hypnotisées par Fuzz – homophobie croissante. Run away, turn away Small town boy.
[1] Annonçant le général Murat, le mouloujik & sa femme, Raspoutine-Depardieu. La tombe de maître Philippe, dont était féru Lacassagne, est la plus fleurie du cimetière. Celle de Kardec, comportant la mention « Naître, mourir, renaître encore et progresser sans cesse, telle est la Loi. », est fleurie après chaque vœu exaucé, selon le souhait du maître.
[2] Rose $Selavy, Sadi, prénom prédestiné pour l’œil persan ; pas d’hasard, Lazare.
[3] Reproduit une centaine de fois comme un produit dérivé, au centre du monde selon Dalí.
[4] Préfigurant Sœur Raphaëlle=Madame Delaunay=Madame du Lac=Madame de Florainvalle=sœur Eugénie Guillou de la congrégation des sœurs de Sion, hors château de Louvières, qui, à la Belle Epoque, fit, bien que « petite, brune, pas belle », sa publicité en aguichant « Recevoir le fouet est chez moi une passion, un besoin. Si vous pouvez me trouver un monsieur aisé aimant fesser la femme, je vous dédommagerai généreusement. » à domicile ou dans son Beauty Salon avec force martinets.
[5] « C’est d’ici que le vénérable Boulard enlevait tous les jours un mètre de raretés toisé à sa canne de mesure, pour lequel ses six maisons pléthoriques de volumes n’avaient pas de place en réserve. » par le franc-comtois et bibliothécaire de l’Arsenal Charles Nodier. Le bibliomane. Paris : Librairie L. Conquet, Imprimerie générale Lahure, 1894. 24 compositions de Maurice Leloir ; gravées sur bois par F. Noël. Préface de R. Vallery-Radot. p. 16 in Contes de la veillée.
[6] Un film interdit à Salem.
[7] 45 % de bite selon Ava à Ford, choqué, qui la taquina pourtant sur le sujet.
[8] Un apothicaire mort centenaire, Lanoix, y développa le principe électrique à coups de bouteilles de Leyde.
[9] Comme lavande, hyssope, verveine, chèvrefeuille, tilleul et feuilles d’oranger mêlés, menthe poivrée, baies de genièvre et centaurée.
[10] Longtemps mariée à un ingénieur-écrivain – le publicitaire, fils de pétainistes adorés, de nouveau, ramant, siégeant dans un ancien bordel avec force œilleton pour le voyeur-, impuissant, piètre réalisateur, épée, hors fourreau, refusée de l’immortel, supplanté par une femme pour fin de vie.
[11] Les cyclades, envahies de touristes, ne sont qu’en Grèce.
[12] Produits surtout par des personnes dont le talent est souvent inversement proportionnel au nombre d’exemplaires vendus. Ces livres sont édités pour les distributeurs en fonction des ventes potentielles, non selon les lecteurs. « Les littératures démocratiques fourmillent toujours de ces auteurs qui n’aperçoivent dans les lettres qu’une industrie, et, pour quelques grands écrivains qu’on y voit, on y compte par milliers des vendeurs d’idées » (Alexis de Tocqueville. De la démocratie en Amérique. Tome second. Paris : Gallimard, 1961. p. 66) ; « Avec nos mœurs électorales, industrielles, tout le monde, une fois au moins dans sa vie, aura eu sa page, son discours, son prospectus. » (Sainte-Beuve. De la littérature industrielle. Paris : Allia, 2003) in Olivier Bessard-Banquy (Sous la dir.). Splendeurs et misères de la littérature : Ou la démocratisation des lettres, de Balzac à Houellebecq. Paris : Armand Colin, 2022. p. 25-26.
[13] Le funazushi, apparu dès le VIIIe siècle, est composé de poisson funa (genre carassius), notamment l’espèce nigorobuna, écaillé, vidé, salé puis mariné puis fourré et recouvert de riz cuit puis fermenté.
[14] Ami de ce spécialiste et collectionneur de Nostradamus, avec bibliographie exhaustive, imprimeur, revuiste, tendu comme un démonte-pneu, également élu, chargé de la mémoire gay à Tôkyôto©.
[15] Barbie – pas la poupée de 29 cm de Mattel© créée en 1959 à partir de Jayne Mansfield quand elle avait encore toute sa tête, quoiqu’une, vêtue comme une déportée, fut heureusement retirée du marché – heureusement condamné outre la défense hargneuse de Vergès, et filmé dans la ville où il a sévi, L’armée des ombres suscitant l’émoi des tôkyôtoïtes à cause des kakémonos nazis pour décor : un tortionnaire au cœur de jeune homme. Hernu, connu pour l’explosion mortelle à la Cruchot par la DGSE du bateau de Greenpeace, le Rainbow warrior qui l’acheva : grosse bite, certains sont plus égaux que d’autres.
[16] Alors que leur président, après la visite du premier institut franco-chinois, se sustenta d’une selle d’agneau du Limousin fondante dans la paille fumante par JC2A de l’auberge de l’île échangiste.
[17] Locard joua un rôle, grâce à une expertise graphologique – qui s’opposa par sa méthode à celle de l’antisémite Bertillon qui se discrédita dans l’affaire Dreyfus -, dans l’affaire de l’œil du tigre (inspirant sans doute le tube de Survivor pour Rocky) de Tulle, qui inspira Le Corbeau de Clouzot, tourné dans la ville de Ravel, à la Continentale, autour de l’anonymographe, film aussi détesté par les français (cote 6 : au-delà d’à proscrire selon la centrale catholique vichyssoise), dont les Résistants, que par les nazis.
[18] Cette auteure – Orlando furiosa -, trop consciente de sa classe sociale dite upper upper=supérieure, à coup de ouistiti Mitz, où, foi de Toynbee, place to be or not place to be est plus important que to be or not to be, qui se regardait écrire dans sa Chambre à soi, heureuse uniquement lorsqu’elle fabrique du pain, antisémite mariée au juif Léonard, en rivalité avec sa sœur peintre Belle, qui n’a, sauf Cap Canaille vers Cassis et St Yves (Cornouailles), dépassé Picadilly que pour se noyer bien que la phalène aimait la pêche – préférer Bloom à Bloomsbury ainsi que Conrad.