[Manuscrit] Sales rêves [épisode 8]

Croiser sans fréquenter. Ami.e.s et couples avachis sur leur cellulaire-aux-métaux-rares-arrachés-dans-mines-clandestines, avec nomophobie, devant leur verre Duralex® sed sex de chez Pyrex® au grand réfectoire où subsiste encore leur écho que subsume la cuisine d’inspiration créole de Ravin avec la mode de la cuisson à basse température payée sans contact, comme l’amour et les fantômes nippons – nagori. Ils ne savent plus voir : ni au-dessus – cette plaque satanique d’ancêtre de Fuzz ; une autre, dans un resto de luxe, du guérisseur star[1], de l’hémophile tsarévitch, où il fabriqua son héliosine -, ni devant – cette dalle rouge du président[2] rebouisé (cher acteur du TNP), dans son landau à coups de poignard[3] par l’anarchiste italien et néanmoins boulanger vengeant l’exécution de Ravachol lors de l’expo universelle où les personnes des colonies étaient capturées et exhibées dans des cages, cela allait de soie -, encore moins autour. Heureux qui communique selon du Bellay. Communiquer n’est pas échanger. Moshi moshi. Des cabines téléphoniques végétalisées, devenues au mieux des boîtes à livres, abandonnées, taguées, enlevées.

Des spectacles en plein plein air, très sol-sol, pour occuper l’été : du baroque dans les parcs – Shaft à voix de castrat ; 25 000 spectateurs sans raquer sur pelouse interdite pour du Dvořák, inspirant Initials BB du point G. avec vue uniquement sur la moitié de l’orchestre symphonique et parlotes GenZ pimentées de force castagnes de spectateurs masquant la vue par paresse et individualisme malgré protestations – gueule et sifflets; retransmission sucrée de l’opéra pour tous ; projections de films – parfois depuis une péniche -, des concerts en île. Un javelot transperce une voiture – !Simca !Simca Lelouch par Tarantino – en double tonneau à la belle Zoë Bell au milieu du boulevard : Royal de luxe©.

Le 22 fév.1526, fête de Fuzz, chaire de Saint Pierre, Meriadeg, Saint Bernard après l’extinction de chandelles et de cloche en détestation sonne : Dario, Dario, von Sydow dare-dare dans le parc, exorcisme par Portalenqui avec l’abbé de Montalembert sous François II de Rohan sur l’esprit frappeur – margaude=lève-groin=poutrône feu sœur Alice=Alix de Theizé=Télieux[4] qui tac-tac-tac cognait sous les pieds et genoux en traçant de nuit, le signe de croix sur le visage effleuré, alors que le chien jaune de Basketville, venu de la Drôme, rôdait dans la nuit avec ses yeux de feu – en riche femme damnée=tâtant de la brioche infernale Antoinette de Glosée, où les poules du licencieux couvent – ratichonnière Saint-Pierre-les-Nonnains, devenu palais (des Arts, Saint-Pierre) puis musée (Saint-Pierre)=MBA – couvent – avec des fœtus et des cadavres d’infanticides dessous – après déni de grossesse comme dans  La maison de la rue en pente – retrouvés après la destruction par le protestant baron des Adrets. Des partouses sataniques de l’abbé Boulard[5] ; gare au traité de sorcellerie Vauderye en brief sous Charles VII et à l’échec de l’inquisition dominicaine quant à la chasse aux sorcières et leur sabbat. Quelle idée de nommer sa fille Häxan selon l’étrange film, censuré, de Christensen. Des messes noires dans les recoins.

Rituels sataniques de Fuzz. Les féministes manifestent encore contre la venue du réalisateur de Rosemary’s baby[6], où Mia-Maison-des-bois prépare, en chantant sur une musique de Komeda, comme Ophélie qui ne fait pas d’Hamlet aux huîtres à la taïwanaise sans casser les œufs, du romarin dans le Bram(Stoker)ForDakota, près de Central park Sodome, vers l’Annie Lennox Avenue, là où Lennon fut assassiné par Chapman qui fut au premier rang de la pièce Elephant man dont le rôle-titre fut joué magistralement par Bowie, et divorça par téléphone pendant le tournage avec son (ex-)mari mafieux, The Voice[7], Franck psalmodié dans une rave des Nuits sonores par Miss Kittin & the Hacker.

Fleuves deux, quais aménagés. Masculin féminin. On ne se bugne jamais dans le même fleuve. Tôkyôto© est 1 des piliers du triangle ésotérique de magie blanche Turin-Prague, qui en croise un autre, plus sombre. Franc-maçonneries puissantes, loges en stock. Le soyeux Willermoz, maçon spéculatif, créa la loge des Maîtres réguliers où il acquit le grade de chevalier de Saint-André, ainsi qu’une autre loge, avec son frère dans le Midi, le chapitre des chevaliers de l’Aigle Noir, avec l’hymne bien connu de Barbara, évitant les griffes de Cagliostro avec son rite égyptien dans la loge « La Sagesse » puis La Sagesse Triomphante,  pour rejoindre le culte des Coens de Martinès de Pasqually et y acquérir le grade de commandeur d’Orient et Occident avec la charge d’inspecteur général de l’ordre des Coens, puis il fonda la loge La Bienfaisance en lien avec la Stricte Observance templière des barons allemands Hund & Weiler et la loge, grâce à l’alsacien Salzmann, des Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte, avec le grade de Grand Profès puis la franc-maçonnerie Rectifiée depuis le Convent de Wilhemsbad, la Société des Initiés puis la Loge Elue et Chérie de la Bienfaisance. Casanova a traîné icigo dans une loge. Tous s’intéressent au cas de la somnambulique Jeanne Rochette et de l’Agent Inconnu=Mme de Vallière=Marie-Louise de Monspey. Mesmer, préfigurant l’homme de la Berggasse après Charcot dont il fut l’élève, avec sa loge de l’Harmonie Universelle fondée avec l’avocat Bergasse, qui paradait en toge en soie et chapeau pointu sur fond d’harmonica de verre, serait venu à Tôkyôto©, peut-être pour y montrer ses passes magnétiques, autour du baquet contenant des bouteilles remplies d’eau magnétisée[8] sur un mélange de verre pilé et de limaille de fer avec rajout d’aimant, de plantes médicinales[9], où les femmes, après avoir touché les tiges en métal tout en mettant la corde sur le creux de l’estomac ou autour du poignet ou de la cheville, se pâmaient dans des chambre de crise où les valets-toucheur en profitaient pour les peloter. Le marquis de Puységur, en bon disciple, affilié à la loge La Candeur de Strasbourg pour y créer l’une des premières loges Rectifiées avec la Société Harmonique des Amis Réunis de Strasbourg, propagea la bonne parole, générant fluidistes, animistes, psycho-fluidistes, sceptiques et spiritualistes. Succède au spiritualisme magnétique de Tardy de Montravel et du Chevalier de Barberin, le journal Le Somnambule, journal de magnétisme du spirite Possin, diffuseur de magnétisme d’école du Dr Billot. Les convulsionnaires se réunissaient à la janséniste. L’Athénée a cru. Le théosophe Ballanche, proche de Récamier, Chateaubriand, Sainte-Beuve et Ampère, nourri de Boehme et de Saint-Martin, fonda la Société chrétienne à base de philosophie romantique allemande. Et Jacques Aymar, Pythonisse, Madame de Thèbes. (Léon-Hippolyte aka Allan) Kardec à l’école du franc-maçon Pestalozzi, de la loge La Tolérance, pénétré de rousseauisme – sa société et sa revue spirite – sont dans le Kardex®. Le visionnaire Vintras célébra ses « messes rouges », reprises par l’abbé Boullan. Le journal spirite s’inspire du curé d’Ars et du père Chevrier, fondateur et chef de la communauté du Prado avec ses prêtres pauvres. En face de la Fédération spirite, réunissant la Société Fraternelle de Sausse, le cercle Amitié et le groupe Chevalier-Deprêle, s’opposent les Indépendants avec la fédération des Spiritualistes Modernes. Mme Combes, médium spirite, ouvrit un nouveau cercle par écriture automatique, la société Jeanne-d’Arc avec recueillement, les passes magnétiques et la chaise avec incorporation où se manifestent les esprits des ténèbres, les esprits familiers et les esprits-guides. Puiser dans le Centre de doctrine et de sciences spirites Allan-Kardec. Le gnostique Thiellement, exégète des ronds-points, tourne de l’œil devant la fresque au-dessous de laquelle le boulanger, marié à une cubaine, est mort en poursuivant un client malcommode sortant en courant de la boutique – le cœur lâcha.

En DUMBO de Crooklyn sur fond de  Cass(i)us Belli, L’Animalerie, Bavoog Avers, Oster Lapwass, Chilla, Sasso, Les Enfants Sauvages, Ming8 Halls Starf, Mazoo, Pifi, Lyonzon, Zeguerre, Vrax, Robse, La Famax, Vax-1, KLM, 666, 667-669, RA2Z, Pouya ALZ, d’IPM : autour d’un quartier envahi de magasins de bricolage, un Petit avec des grandes oreilles écoute, chez un disquaire ayant miraculeusement survécu, le son d’Homard violet, de Starshooter, d’Haine Brigade, de Garlic Frog diet, Crazy skankers, Marie et les Garçons, Straight Royeur, d’Electric Callas, de Carte de séjour ou art de jouer seC d’un groupe qui splita l’année du bicentenaire de la Révolution française, Bananas at the audience, Kabuki Buddah, Chevignon, Binaire, Mensch, Brice et sa pute, Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp, Bye bye Dubaï, Venin carmin, Tôle froide, Le peuple de l’herbe, High Tone, le grunge Mudhoney et son maxi Superfuzz Bigmuff sur Sub Pop, Fuzz, ce groupe de hard rock  jouant en generator show dans un tunnel abandonné avec la guitare alerte de Ty Segall, les labels Arty farty, InFiné et Jarring effects. Pas assez de koto à Tôkyôto©.

Sos amor et la verte=gonorrhée à Sodomorrhe-sur-Babylone more : échangismes dans les coins en adéquation avec l’idéologie politique et économique, La vie sexuelle de Catherine M., jalouse, pionnière du droit d’importuner en temps de #MeToo, avide de viol pour prouver sa résilience, aimant vit et directrice d’Art press-purée venue voir derrière les jalousies la directrice des Beaux-Arts. Ayant trop le feu au cul, la boîte à culs, trois étoiles dans GQ, flamba=en charbonaille dans la presqu’îl de la belle ville en archipel, trop d’îles flottantes avec l’orgue de barbarie. Traczire dans le bouic. Rue de l’épée, un club d’arts martiaux, anciennement un lieu d’accueil de bordeliers=bobinard=cambrouse=bouc=garcerie=beule=claque, parmi 32 dont 26 maisons de RDV, moins regardantes, le Panier fleuri pour ne plus compter fleurettes : coursive intérieure supérieure pour plonger voir s’il y a du monde au balcon avant de tester la marchandise – Palper là cet épiderme / Qui fait que je me dresse; sur la façade extérieure, le balcon, loin du pont des soupirs, attenant aux appartements de la baillive=maquerelle. Possibilité de laisse is mord pour l’option d’un S.M. minimal ; « J’ai d’autres chattes à fouetter. » dit la maîtresse Jeanne de Berk[10]. Sans omettre les rapports d’émigré.e.s de Gomorrhe dans l’immeuble de rapport vers l’avenue Q près de Ginza street. Pas de J’accuse aux jacuzzis. Feu au QG, coups de Fuzz. Emprunter le pont d’échangisme pour fouler une petite île verdoyante, contenant une belle église partagée entre plusieurs appartements, où l’échangisme en plein air se pratique 7 jours sur 7. Comme Casino®. Se sustenter d’une tarte à la praline chez Ejacteur.

Les pistes cyclables[11] sont partout – étendues temporaires=coronapistes pendant les pandémies quand tout va à vé-lo. Inondables malgré normes. Piétons perdus versus mob et mode doux à tout va. Les verts virent les boîtes à livres d’occasion, malheureusement pas classés Unesco, pour les pistes : le monde doux aura la peau des romans durs. Les boutiques de réparation de vélo pullulent comme les cafés-vélos où il est possible de se lover moyennant lovés. Les trottoirs végétalisés débordent en ZFE.

Dans le métro – !: Attentifs ensemble -, les médiateurs guettent pour éviter les piétinements et écrasements des rencognés qui ont la comprenure difficile lors des heures de pointe – un mort déjà, poussé par Fuzz. Le lapin Serge s’épuise à clamer dans l’indifférence Fais attention. Tu risques de te faire pincer [au cul] très fort. Une religieuse portugaise défroquée, concurrencée par les familles roms, qu’elle jalouse d’un racisme à fond catholique, vend des canettes pour son frère dépendant d’opérations chirurgicales coûteuses, à côté de dingues sortis d’hôpitaux psychiatriques ou de jeunes désœuvrés. Beaucoup prennent exemple sur Chirac – qui ne prenait jamais le métro, comme Balladur, Kosciusko-Morizet ou Pécresse en campagne, sauf pour la pose, cela va de soi – pour éviter de payer en surmontant le tourniquet d’entrée ou en passant à travers les portes derrière vous, en vous collant tout en assurant vos arrières, les jeunes vous tançant si vous n’acquiescez pas, certains demandent la permission – les français seraient plus coopérants que les allemands. Les femmes – l’une a un t-shirt rose fluo : « l’amour est déclaré » – se mirent dans la vitre en face avec force grimaces. Damoches et damottes. L’odeur de livres neufs des corps aseptisés à cause de l’identique lait de corps détraquant tout parfum et le corps à cause de perturbateurs endocriniens. Elles causent des bleus aux alentours à cause de la vie indépendante de leur sac à main ou accessoire, comme bombarde, à marqueur social, où ce qu’elles cherchent se situe forcément au fond. Les bouches pincées se mordent de dedans la bouche – visage plastique. Une femme-araignée roumaine, marchant sur ses moignons inverses, quête. Ça mate en triple bande. Nombreux déblatèrent en soliloque logorrhéique. Tou.te.s autistes=zombies avec casque, avec portable ou non, les hommes exhibant leurs couilles autour de leur cou ; en mains, souvent féminines ou autistes reading, des livres parfois[12]. Seuls ensemble. Distribution quotidienne de journaux gratuits dirigés par des épiciers fortunés pour conditionner – A quoi ça sert qu’ils se décarcassent ? -, Fuzz l’a compris : forger l’opinion. Obésité généralisée – non prévue dans les places de transports en commun -, solutions propophiles pour le deuxième cerveau. L’amplitude de l’écartement des jambes masculines=manspreading, souvent gênante, est supérieure à celle des femmes même si Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie et les pellicules de cinéma recyclées en talons de chaussures.

Dans une voie de garage, une dizaine de personnes ont disparu, jamais revues comme entre Charing cross et Temple dans l’underground avec culex molestus de Deep end ou dans L’attaque du métro 123, ce remake de Tony Scott, ou la station fantôme ou désaffectée Arsenal, Plaine des Jeux car puits de descente du tunnelier Agathe, la station Lortet ou, à la Subway de Besson, la « station cinéma » sur la liaison entre la ligne 3 bis et 7 bis, près de la station Sans sushis près du lac artificiel de Biwa à Shiga, peuplé de butors, où est né le sushi[13] : enlèvement par Fuzz moyennant monnaie. Des rats, mutants, se sont échappés de l’animalerie du labo de la Fac de Médecine, se multipliant comme blobs et Gremlins©, et grossissant grâce aux manips génétiques de Fuzz ; ils envahissent par escouades malgré les produits d’hygiène toxiques. Le joueur de flûte d’Hamelin© meurt d’une overdose d’héro comme Ziggy, pas la poupée Mattel©. Du gaz sarin dans les rames de métro de Tôkyôto© à la station Kasumigaseki, au croisement de 3 lignes, sous la direction de Fuzz[14] à la tête de la désinvolte et sweet secte apocalyptique Aum Shinrikyo-Aleph et ses « ventes spirituelles » aux adeptes à prix exorbitants de produits de faible valeur éclatant en scandale : 14 morts, 6 000 intoxiqués. Mais pourquoi les kiwis m’empêcheraient-ils d’être sarin ? Dodo disparu, regénéré par ADN.

Un couloir souterrain, condamné depuis le passage du métro, surveillé par les little red cornettes dans la guérite, pour les patients passant de vie à trépas entre l’hôpital et le médico-légal amphi Lacassagne avec une forte odeur d’autopsie[15] où des scènes de polar comme Les rivières pourpres de Kassovitz ont été tournées. Parfois le solliceur de lacets=balai=chandelier=QRM 22=gendarme accompagnateur tourne de l’œil. Le grand réseau souterrain reste inexpliqué : les arêtes se prenaient par la rue des Fantasques – dépôt de monnaies romaines, couloirs secrets pour l’armée, tombes, trésor des Templiers ou autre ?

Rendez-vous clandé du speakeasy Fuzz avec force chandeliers. Après EnCuledo®, jeu d’arcades : passages=allées pour celles et ceux qui pratiquent le plus vieux métier du monde, passe-murailles=espions maussades aux initiales de mauvais whisky, de dissidents chinois[16] hush hush aux scores sociaux au crédit négatif visible par tous, suite à l’édiction d’un kompromat, après les Résistants very hush hush, RDV avec X. Rue Constantine, rue clandestine.

 Icicaille : secret des cours. Vidéosurveillance intelligente dont caméras-dômes – focus. Des rebel.le.s avec du scotch noir ou du maquillage dazzle asymétrique sur le visage, maigre tribu en  degré de liberté, pour parer le pointage, l’identification faciale – fleuron français : des clowns tristes d’une tribu amérindienne inconnue ; Raoni reste sans voix avec plateau labial bloqué, Sting s’est cassé la voix déjà fausse – Message in the bottle. Fuzz use de split screen façon Conversation secrète de Coppola et Phantom of the paradise, Blow out, Snake eyes de de Palma. Identification faciale, à l’iris, visage, voix ou par le microbiote intestinal, par les selles, par le phallus pour la prédiction des criminels – K. Dick K. Dick – avec algorithme biaisé de racismes, dans la ville où naquit la police scientifique par le médecin, amateur d’opérettes et opéras, hématophobe[17], à l’origine de l’association du Merle blanc. Bombe artisanale Fuzz en safe city friendly dans la grande rue commerçante malgré. Tolérance zéro.

Une fille violée par Fuzz, pote des Droogs©, qui prit son pied au pied des tours, érigées par Zizi Béton, qui bandent de tourbe de cravatés en face de la gare ; pas loin, vrille=Woolf[18], une gendarmette=fuzz a sa meuf violentée par des bandes d’adotes au cutter, hypnotisées par Fuzz – homophobie croissante. Run away, turn away Small town boy.


[1] Annonçant le général Murat, le mouloujik & sa femme, Raspoutine-Depardieu. La tombe de maître Philippe, dont était féru Lacassagne, est la plus fleurie du cimetière. Celle de Kardec, comportant la mention « Naître, mourir, renaître encore et progresser sans cesse, telle est la Loi. », est fleurie après chaque vœu exaucé, selon le souhait du maître.

[2] Rose $Selavy, Sadi, prénom prédestiné pour l’œil persan ; pas d’hasard, Lazare.

[3] Reproduit une centaine de fois comme un produit dérivé, au centre du monde selon Dalí.

[4] Préfigurant Sœur Raphaëlle=Madame Delaunay=Madame du Lac=Madame de Florainvalle=sœur Eugénie Guillou de la congrégation des sœurs de Sion, hors château de Louvières, qui, à la Belle Epoque, fit, bien que « petite, brune, pas belle », sa publicité en aguichant « Recevoir le fouet est chez moi une passion, un besoin. Si vous pouvez me trouver un monsieur aisé aimant fesser la femme, je vous dédommagerai généreusement. » à domicile ou dans son Beauty Salon avec force martinets.

[5] « C’est d’ici que le vénérable Boulard enlevait tous les jours un mètre de raretés toisé à sa canne de mesure, pour lequel ses six maisons pléthoriques de volumes n’avaient pas de place en réserve. » par le franc-comtois et bibliothécaire de l’Arsenal Charles Nodier. Le bibliomane. Paris : Librairie L. Conquet, Imprimerie générale Lahure, 1894. 24 compositions de Maurice Leloir ; gravées sur bois par F. Noël. Préface de R. Vallery-Radot. p. 16 in Contes de la veillée.

[6] Un film interdit à Salem.

[7] 45 % de bite selon Ava à Ford, choqué, qui la taquina pourtant sur le sujet.

[8] Un apothicaire mort centenaire, Lanoix, y développa le principe électrique à coups de bouteilles de Leyde.

[9] Comme lavande, hyssope, verveine, chèvrefeuille, tilleul et feuilles d’oranger mêlés, menthe poivrée, baies de genièvre et centaurée.

[10] Longtemps mariée à un ingénieur-écrivain – le publicitaire, fils de pétainistes adorés, de nouveau, ramant, siégeant dans un ancien bordel avec force œilleton pour le voyeur-, impuissant, piètre réalisateur, épée, hors fourreau, refusée de l’immortel, supplanté par une femme pour fin de vie.

[11] Les cyclades, envahies de touristes, ne sont qu’en Grèce.

[12] Produits surtout par des personnes dont le talent est souvent inversement proportionnel au nombre d’exemplaires vendus. Ces livres sont édités pour les distributeurs en fonction des ventes potentielles, non selon les lecteurs. « Les littératures démocratiques fourmillent toujours de ces auteurs qui n’aperçoivent dans les lettres qu’une industrie, et, pour quelques grands écrivains qu’on y voit, on y compte par milliers des vendeurs d’idées » (Alexis de Tocqueville. De la démocratie en Amérique. Tome second. Paris : Gallimard, 1961. p. 66) ; « Avec nos mœurs électorales, industrielles, tout le monde, une fois au moins dans sa vie, aura eu sa page, son discours, son prospectus. » (Sainte-Beuve. De la littérature industrielle. Paris : Allia, 2003) in Olivier Bessard-Banquy (Sous la dir.). Splendeurs et misères de la littérature : Ou la démocratisation des lettres, de Balzac à Houellebecq. Paris : Armand Colin, 2022. p. 25-26.

[13] Le funazushi, apparu dès le VIIIe siècle, est composé de poisson funa (genre carassius), notamment l’espèce nigorobuna, écaillé, vidé, salé puis mariné puis fourré et recouvert de riz cuit puis fermenté.

[14] Ami de ce spécialiste et collectionneur de Nostradamus, avec bibliographie exhaustive, imprimeur, revuiste, tendu comme un démonte-pneu, également élu, chargé de la mémoire gay à Tôkyôto©.

[15] Barbie – pas la poupée de 29 cm de Mattel© créée en 1959 à partir de Jayne Mansfield quand elle avait encore toute sa tête, quoiqu’une, vêtue comme une déportée, fut heureusement retirée du marché – heureusement condamné outre la défense hargneuse de Vergès, et filmé dans la ville où il a sévi, L’armée des ombres suscitant l’émoi des tôkyôtoïtes à cause des kakémonos nazis pour décor : un tortionnaire au cœur de jeune homme. Hernu, connu pour l’explosion mortelle à la Cruchot par la DGSE du bateau de Greenpeace, le Rainbow warrior qui l’acheva : grosse bite, certains sont plus égaux que d’autres.

[16] Alors que leur président, après la visite du premier institut franco-chinois, se sustenta d’une selle d’agneau du Limousin fondante dans la paille fumante par JC2A de l’auberge de l’île échangiste.

[17] Locard joua un rôle, grâce à une expertise graphologique – qui s’opposa par sa méthode à celle de l’antisémite Bertillon qui se discrédita dans l’affaire Dreyfus -, dans l’affaire de l’œil du tigre (inspirant sans doute le tube de Survivor pour Rocky) de Tulle, qui inspira Le Corbeau de Clouzot, tourné dans la ville de Ravel, à la Continentale, autour de l’anonymographe, film aussi détesté par les français (cote 6 : au-delà d’à proscrire selon la centrale catholique vichyssoise), dont les Résistants, que par les nazis.

[18] Cette auteure – Orlando furiosa -, trop consciente de sa classe sociale dite upper upper=supérieure, à coup de ouistiti Mitz, où, foi de Toynbee, place to be or not place to be est plus important que to be or not to be, qui se regardait écrire dans sa Chambre à soi, heureuse uniquement lorsqu’elle fabrique du pain, antisémite mariée au juif Léonard, en rivalité avec sa sœur peintre Belle, qui n’a, sauf Cap Canaille vers Cassis et St Yves (Cornouailles), dépassé Picadilly que pour se noyer bien que la phalène aimait la pêche – préférer Bloom à Bloomsbury ainsi que Conrad.


[Manuscrit] Sales rêves [épisode 7]

Urbex. Vinciffageland. Tractations Fuzz-qui-fuse. Transformer patrimoine en tiroir-caisse : Hôtel-Dieu[1] cinq étoiles, que ville vive ! Nez rouge est icicaille gastronomique, comme son prix. Dessous, une royale tombe, majesté inconnue devant les archéologues désemparés[2], recouverte illico – ni vu ni connu je t’=archéologie préventive, quand c’est INRAP, c’est râpé. Dôme reconstruit depuis la destruction de la guerre n’aspire plus les miasmes mais les monnaies et devises sonnantes & trébuchantes=fiat ou cryptoactifs=cryptomonnaies comme dogecoin, Ada ou l’ardeur d’acheter, déclinées en monnaie locale telle que gonette, tissou, doume, sol-violette, épi, abeille, nissart, galleco. Soufflot, qui n’assista pas à la fin des travaux à cause de l’appel du Roi Soleil à Versailles, s’en retourne dans sa tombe. Monuments hystériques complaisants. En faillite, la Cité gastro dite interactive sur le modèle du musée des microbes à Amsterdam près du Botanique. Désillusion du musée des illusions à cause du prix peu magique du billet.

Je t’ : un mari avec sa réchauffante=son gazon=sa moumoute, Marcel Carne, subitement fou travaille dans le rouge sur l’incitation de Fuzz – Red rum red rum ; Jack a dollar dull Jack a dollar dull Jack a dollar dull, ad lib. : sa jeune femme, lâche la rampe=a perdu le goût du pain=remercie le boulanger=n’a plus mal aux dents – = énième féminicide -, qui chauffa la carte – femme à chats = femme-achats : « je dépense, donc je suis » Descartes de crédit – dans les commerces de luxe adjacents. Un tien vaut mieux deux tu l’auras. Un autre, soit ayant trop joué sur Twitch® against Moscou, soit ayant trop lu Breton[3] – foi de Quincey – et rempli de Waco minute soupe®, a fait la maison entière en imitant le sniper de Sarajevo et de Las Vegas et tue à la Fuzz 20 personnes, si je ne Mabuse, en tirant au bazooka sur les voitures en bord de fleuve. A chacun son Pac-Man© et pas qu’en post-it® de Silver sur la vitre de bureau ou de la chambre : Atari® jaune, Ubisoft® pas safe. Keitel en Mister W – Winston Wolf -, le nettoyeur de Pulp fiction enlèvera le sang, les bouts d’os et les bouts de cervelle dans la Chevrolet verte de 74. Boucherie attenante : retour aux origines.

[ambiance : avant Musique pour aéroport d’Eno-l’ambient-stratégie oblique – aéroport (où zone, en transit une dizaine d’années, tel un fantôme, l’iranien Sir Alfred) nommé Toine (et cet homme planté, attendant un voyageur, avec un panneau indiquant « En attendant Godot »), il a été construit avec des escalators trop courts et impraticables, des terminaux inactifs, des circuits de refroidissement d’eau sous les câbles électriques sous le faux plafond et inauguré pendant le confinement -, musique pour meurtres d’Hitch inspirant le rap d’Eminem et son flow rapide comme l’asthmatique et clopeur Busta Rhymes Gimme some more avec le sample d’Herrmann dans Psycho].

Amarrée icigo lors du siècle positiviste et hygiéniste, la morgue flottante, à cause de maires-médecins raspis=rapiamus=avec oursins, hérissons=fers barbelés dans les poches au mépris de l’hygiène, avec boulanger remercié en tant que gourdés=noyés[4] ou qu’assassinés au choix pour identification comme dans Thérèse Raquin de Zola ; ancien bateau=plate, dirigé par un plattier gueulard, pour poules d’eau=sautes-fleuve=relaveuses=lavandières battant batillon et baquets insolents, peu enchanteur, pourrissant et puant, à côté des carpes et des brochets[5] en surnombre évidées et des bèches d’où plongeaient quelques nageurs dont des carabins – visité les week-ends par les enfants d’humeur baladoire avec leurs parents ; parfois le criminel venait admirer le résultat de son crime et se faisait capturer – échoua, go fast, en vallée de la chimie à cause de la grande crue centennale.

Un nuage passe comme un ange – une anguille[6] sous la meule de foin : arbre macchabée machabé macabrée maicaibré maucaibré montcabré macabre abrecâbre abrecâbe machabe macabe macade marcabe marcade méquébé. Le cunnilingus est un gros nuage annonçant _rage tout comme le pyronimbus. Bérézina printanière, les corps, conservés grâce à un système de douchette pompant l’eau dans le fleuve, flottent comme dans Coup de torchon[7] par le réalisateur local de L’horloger et le scénariste Aurenche-le-parleur. Par manque de place, les dégelés=bouquets=corps=rebouis, go free, sont déposés, à l’aide d’un garde de bonne morgue, dans des camions frigos® pour la boîte aux refroidis lors de la clavicule, signalée par l’avant-chien, ou un espace frigo® marché-ventre comme le musée des claqués à cause d’épidémie avant l’île aux morts entre les 4e et 5e avenues[8] ou à la ficelle, comme l’andouillette évaluée par Standard & Poor’s AAAA avec du sang d’artiste, avec – ni ail  ni crucifix – force chevaux et trimbaleur de carne pour la sèche – vampire contre-attaque. Le canasson finira en tartare, shushis ou en Canigou®, Ragoutoutou©[9] : rien ne se perd, tout se transforme. Avec un panneau d’un pape qui explosa, manifestation des embaumeurs – le marché de la mort, inévitable, est très lucratif avec un lobbying puissant où règne la loi de la rentabilité – à cause d’usage de produits nocifs, polluant sols et nappes phréatiques lors de la décomposition du « je ne sais » selon le Méldois Bossuet, avec reconnaissance de la pénibilité, de la concurrence du low cost à forte intensité où des vers sortent de bouches mal cousues. 11 millions le nombre d’arbres sains sont abattus et coupés pour produire les cercueils, soit plus de 30.000 km2 de forêt, Rika Zaraï préférant l’humusation, sur lit de broyat, à l’aquamation et au cercueil en carton-cellulose, ou « boîte Amazon® », selon le design funéraire en cours, comme sa valise, avec une émission supplémentaire de 14 kg de CO2 par rapport aux cercueils en bois lors des crémations. Le cimetière est le seul endroit tranquille où animaux s’ébrouent et abeilles pollinisent : passée l’allée des vampires dont le fameux Vlad, le cercueil de verre dans la colonnade de la comtesse Demidoff-beauf Strogonoff, morte en 1818, où si tu te démerdoffes à rester un an dans la crypte où elle repose à force de voir les Contes de la crypte, tu gagnes le gros lot selon son testament ; après quelques paroles terminales genre « Le soleil, c’est dieu. » (Turner), « Laisser verdure. » (George Sand), « Je meurs. » (phrase incontestable du médecin Tchékhov), « C’est fini. » (Nathalie Sarraute), « J’ai l’impression qu’il y a une histoire d’amour entre l’infirmière et le type qui fait le ménage. » (Jacques Tati), l’écrivain Fournier agrémente son épitaphe de « Finalement, nous ne regrettons pas d’être vénus. » ; « Ci-gît un dur à cuire » pour celui qui ne se priva, le musicien, incinéré, Jo Privat ; « Chômeur à vie intégrale / sous-consommateur total. » Parmentier-qui-n’a-plus-la-patate ; « gémissons, gémissons, gémissons. » selon l’homme aux dents longues.

Concentration mondiale de centrales nucléaires – éculées, au bord de montagnes jeunes qui montent comme nos ongles, autour du Mont Pourri[10], sur plaques en mouvement ; lors de canicules, l’important, c’est l’arrose pour que la température tombe. Fuzz comme Zorine avec walkman® à San Andreas, vers Frisco ou San Fran selon le snobisme, active, comme Lex Luthor par Gene Hackman avec les missiles dans le premier Superman de Donner, la faille avec des explosifs – Big one – et engloutit la Sillyconne valley. Eau vive de Giono sans Béart : barrages hydroélectriques, bientôt privatisés alors que l’hydroélectrique est producteur de méthane, menacent de rupture – avec l’aide de Fuzz en plus. Où est le regard bleu intense de Lee Remick ?

 Musée high-tech avec architecture décalée[11], avec peu d’espaces d’expo, dans l’eau s’enfonce lentement comme le tribunal néoclassique à colonnes où les dossiers sciento-qui-ont-pignon-sur-rue, en libre communication, furent volés par Fuzz. Un théâtre classique classé, touché par un incendie partiel à cause de travaux, où a été créé Boudu sauvé des eaux. La population, soulagée par le pain et les jeux comme le grand feu d’artifice de l’anniversaire de la prise femelle ou mâle de la Bastille, paye les travaux avec les impôts. La ville est une marque déposée – comme le blanc Allais©[12], initiant les nombreux procès de plagiat, psychologique[13] ou non, de monochromes, le bleu Klein©[14], Monory© ou Hockney©, le noir Kapoor®, la rose shocking© de la grand-mère de Marisa Berenson, Elsa Schiaparelli, le jaune – cotée en bourse. Calcul du temps de nuité, de visitorat et du taux d’occupation par les clients.


[1] Bail emphytéotique comme la Punta della dogana à Venise par Pinault-simple-fric et Ando.

[2] Dont le mari d’Agatha-whodunnit après le « troyen » Winckelmann né Stendhal.

[3] Le Second manifeste du surréalisme, 1930.

[4] Réanimés parfois au siècle des Lumières avec du tabac – fort prisé au point d’être volé – dans l’anus grâce au soufflet afférent. Se référer à « Les mœurs des noyés » de Jarry dans La chandelle verte.

[5] Au point de les recycler en quenelles.

[6] Ce poisson excommunié par bulle papale à cause de sa prolifération dans le lac Léman.

[7] Ce n°1000 de Thompson dans la Série noire, collection nommée par Prévert, qui perdit quelques âmes dans la traduction française.

[8] Ce carrefour de la mort© où naquit le blues.

[9] Examinons ces menus de paquebots transatlantiques ; « Pour votre toutou madame, le plat de Médor : consommé de boeuf, toast et légumes » ou, au choix, « la gâterie Normandie : carottes, viande hachée, épinards et toasts ».

[10] Pas la montagne noire d’Aude, cette mine d’or d’Etat recouverte, avec arsenic pur qui se déverse à chaque inondation, notamment dans une école adjacente.

[11] Pangolin en écailles de métal sur squelette de béton : toute ville veut son obéliscal Guggelbao, gare au Gehry all Wright, cette araignée d’eau.

[12] Pour Wang Wei (VIIIe), c’était au lavis. Les prédécesseurs directs sont les Scapagliati en Italie.

[13] L’« autresse » (Rétif de la Bretonne ; mot oublié malgré l’appui de l’Académie française, cette « glorieuse maison de retraite » selon Jean Dutourd de L’Académie par un des Quarante), virée de P.O.L, pourtant amante de l’éditeur, qui inventa ce concept fumeux, à propos d’un enfant mort devenu sujet de fiction, critiqua fortement une autoresse, article à l’appui, afin qu’elle cède sa place à son compagnon, qui s’y substitua de bonne grâce, sur la liste du prix Goncourt, dont il fut finalement exclu dans un bref sursaut d’honnêteté arborée – le conflit d’intérêt étant trop flagrant. L’« autresse » vigilante et déboutée, aura tout de même son Quarto, antichambre de la Pléiade.

[14] IKB (International Klein Blue) pucerons. Dans le bleu peint en bleu de Domenico Volare Modugno, inspiré par Chagall.




Marilyn de risque

Les arcanes des festivals de ciné


   Frémaux, dégueulé général, souhaitait la présence au Festival de Cannes de Blonde de Dominik, un film Netflix qui a mis une dizaine d’années à émerger pour des problèmes de droits, de financement, résolus grâce à Brad Pitt et sa boîte de prod. Plan B Entertainment et la plateforme, refroidie par un « film d’art et d’essai vague et obtus », le peu de dialogue, les scènes de sexe impliquant une interdiction (- de 17 ans aux USA) allant jusqu’au conflit sur le final cut avec le metteur en scène heureusement tenace. Netflix aurait opté pour ne pas présenter Blonde en 2021 aux Oscars pour favoriser Don’t Look Up : déni cosmique (A. McKay, 2021), d’où un retard de plus. Refus de Netflix car Frémaux imposa la catégorie Hors compétition au Festival de Cannes. Voilà encore une fois comment la Mostra de Venise a damé le pion au festival français.


Mais, grâce à Frémaux, schizophrène à Cannes à cause des exploitants, nous bénéficions, grâce à son carnet d’adresses et sa diplomatie, d’une projection à l’Institut Lumière d’un film Netflix, aux abois depuis la perte d’abonnés avec la guerre en Ukraine, la fin de la pandémie, la crise et le manque d’argent, et les abonnements pirates.

 
Un angle enfin singulier


Blonde est un film long tourné à partir du pavé brillant de plus de mille pages de Joyce Carol Oates où les scènes en italiques devenues voix off alternent de façon fluide avec les actions de Marilyn (1926-1962) à partir de sa psyché complexe, tourmentée par des traumas d’enfance tels qu’une mère folle et actrice ratée qui ne la désirait point, un père absent (« l’homme-dans-le-cadre ») au point de qualifier ses maris, entre un Di Maggio violent et un Miller méprisant – incarné par l’excellent Brody, the tarin, perdu des radars depuis son Oscar pour Le pianiste (The pianist, R. Polanski, 2002) -, de « daddy » comme dans Le Milliardaire (Let’s Make Love, G. Cukor, 1960) où elle chante « Mon cœur est à papa / You know, le propriétaire » sur un schéma freudien basique, une fille ballottée entre différentes familles d’accueil, un producteur qui la viole, une maternité contrariée dont un avortement pour pouvoir tourner Les hommes préfèrent les blondes (Gentleman prefer blondes, H. Hawks, 1953), l’écart, de plus en plus abyssal, entre Norma Jeane Mortenson/Baker et la glamour Marilyn Monroe (« Le cercle de lumière est le vôtre » lâche-t-elle aux paparazzi) qui commença comme pin-up (« Marilyn était à la fois l’armure et la prison de Norma Jeane. » selon de Armas) ; bref un chemin de croix qui finit par une passion (« Où s’arrête le rêve et où commence le cauchemar ? », demande Marilyn Monroe lors d’une audition). Oates précise : Marilyn est « complice de sa propre exploitation, qui ne s’extirpa jamais de la machine à broyer, qui accepta son calvaire »).


Le ton du roman et du film est original grâce à une construction en synecdoque au cordeau, une mise en abyme comme dans Requiem for a dream de Darren Aronofsky (2000) : le biopic – car c’en est tout de même un – saisit Marilyn autrement, de l’intérieur jusqu’à quelques rares pointes de mauvais goût comme la vue du vagin via le spéculum (nous échappons à un cunnilingus pendant les règles), un fœtus de synthèse qui parle à Norman Jeane/Marilyn. Pas mieux concernant l’orgasme illustré par les chutes du Niagara en référence au film (Niagara, H. Hathaway, 1953), ce porc, addict au sexe, de Kennedy – dont l’image, enfin exacte, ne ressort pas redorée – qui bande tout en regardant à la tv l’érection de lance-missiles lors de la crise des fusées à Cuba (1962) en attendant une fellation imposée, avec monologue intérieur, alors que le Président répond au téléphone à quelqu’un qui le met en garde contre ses frasques – scène très difficile à voir mais nécessaire à la narration. « Je pense qu’il a réussi à montrer l’expérience de Norma Jeane Baker de son point de vue, plutôt que de la voir de l’extérieur, le regard masculin sur une femme. Il s’est immergé dans son point de vue. » déclare Oates.

Qui est Dominik ?


Dominik est un réalisateur intéressant en tant qu’il arrive à investir un genre, bien calibré par définition, tout en apportant une originalité, un pas de côté, un petit décalage passionnant comme dans L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford (The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford, 2007 avec Brad), Cogan (Cogan – Killing them softly, 2012, avec Brad). Pas étonnant qu’il ait porté longtemps le projet Blonde avec sincérité : c’est un bon film, un biopic légèrement décalé, lui aussi. Le roman est difficile à adapter pourtant ; CBS en eut les droits pour une adaptation tv.


Dominik utilise parfois les mêmes procédés que Luhrmann dans l’hideux Elvis (2022) sans pour autant être aussi kitsch que Baz car tout est dans le dispositif établi par le réalisateur. Les changements de formats (1:37, 1:85) et de couleurs, de visions subjectives en anamorphoses expérimentales – beaucoup plus réussis que chez Tony Scott – n’y sont pas étrangers : « J’ai voulu recréer au détail près certaines images ou scènes très connues de la vie de Marilyn dont certaines étaient en noir et blanc. De ce fait, vous êtes en permanence en train de voir des images que vous connaissez pour partie mais le sens que je leur donne est différent. C’était ça l’idée visuelle du film : solliciter la mémoire collective que nous avons d’elle et, en même temps, donner le sentiment qu’elle veut échapper à cette image. » précise Dominik. Le spectateur devient alors schizophrène, entre voyeurisme pour le glamour et empathie avec une descente programmée aux enfers dont nous sommes lointainement les complices.

Ainsi, nous évitons le poncif resservi du « Happy birthday Mister President » le 9 avril 1962, ce qui est un bon signe. La scène de crise de nerfs de Monroe avec Wilder, qui, toujours vachard mais perspicace, déclara que « Marilyn avance sur deux pieds gauches », sur le tournage de Certains l’aiment chaud (Someone like it hot, 1959) est marquante tout comme la robe de William Travilla dans Sept ans de réflexion (The seven year itch, B. Wilder, 1955) qui se soulève longtemps et plusieurs fois à cause du ventilo mimant le souffle de la bouche de métro – pour l’anecdote la scène retenue sera retournée en studio où Marilyn doublera sa culotte de coton blanc ; la première séance, imposée par la Fox, étant publicitaire, avec un « Quel bonheur d’être en robe, je vous plains dans votre pantalon ! » censuré par le code Hays. Dominik poussera la précision jusqu’à tourner dans la maison même où Norma Jeane a bon an mal an grandi et dans celle où elle a été retrouvée morte.


De Armas : de Bond à Blonde


Naomi Watts – ici, on ne peut pas ne pas songer à Mulholland Drive (Lynch, 2001), réinterprété à l’aune de Blonde, pour l’onirisme noir, le passage de la brune à la blonde ou de Norman Jeane à Marilyn -, Chastain ont été envisagées. Et bien, ce sera de Armas, complètement investie à vous faire dresser les poils tant la ressemblance, externe et interne, est affolante : elle tient son rôle à Oscar ; « Elle changera de dimension, comme Julia Roberts avec Pretty Woman », prédit Bruno Barde, le directeur de Deauville qui a auréolé l’actrice cubano-espagnole du mérité prix du Nouvel Hollywood. A star is born !

Elle a été repérée, face à Keanu, dans I Knock Knock (2015) un thriller érotique d’Eli Roth, le « roi de l’horreur ». Elle avait déjà cartonné dans la série espagnole El internado (2007-2010). Elle a éclaté en James Bond girl voire en James Bond Woman dans Mourir peut attendre (No Time To Die, C. J. Fukunaga, 2021) en mettant ses adversaires KO en jupe fendue, porte-jarretelles et talons hauts. Assayas, ex critique aux Cahiers du cinéma, qui l’a filmée dans Cuban network (2019) ne tarit pas d’éloges : « Elle aimantait la caméra, faisait décoller chaque plan. Avec une intelligence intuitive, elle a aussitôt compris le parti à tirer de l’espace de liberté. (…) La largeur de sa palette est assez unique, de la fantaisie la plus débridée aux nuances les plus intimes de l’émotion. Elle a une étonnante capacité d’adaptation, de transformation. ». Jamie Lee Curtis, son amie depuis le tournage de À couteaux tirés (Knives out, Rian Johnson, 2019, où elle joue Marta Cabrera, une infirmière au service d’une famille aisée qui donne la réplique à Danny Craig pour qui « Elle a du cran, elle sait tout jouer. » dans une comédie policière façon Agatha Christie dans un manoir du XIXe siècle de la côte est des États-Unis), l’a comparée à Sophia Loren. Elle donnait déjà la réplique à Ryan Gosling, comme hologramme amoureux, et Harrison Ford en 2017 dans Blade runner 2049 (D. Villeneuve). Les critiques sur l’accent cubain de de Armas, soutenue par la famille de Marilyn, pourtant critique sur certaines scènes de Blonde, sont absurdes. De Armas se lance dans la coproduction avec une comédie d’aventure, Ghosted, bientôt sur Apple TV+.


Good Cave


La musique laisse songer à Robert Wyatt. Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’il s’agissait de Kick Ink Nick Cave et de son complice Warren Ellis puisque Dominik leur a consacré un documentaire, This much I know to be true (2022) ! La partition, éthérée comme une lettre au-delà de la mort, est magnifique.

Conclusion

Voici un beau film sensible et original pour commémorer la mort de Marilyn, le 4 août 1962. La perception de Marilyn correspond à la mienne à l’aune des nouvelles données, du recueil de poèmes, du livre de Michel Schneider – de la famille de la regrettée Maria Schneider, récemment disparu, sur les rapports de Marilyn avec son psy -, des images – Marilyn nue dans et au bord de la piscine – du film inachevé (Something’s got to give, George Cukor, 1962) car interrompu par la mort de Marilyn, restée heureusement non élucidée dans Blonde bien que le roman penche pour l’assassinat. La scène clé – l’une des plus belles de l’histoire du cinéma -, la porte d’entrée pour comprendre Marilyn est, pour moi, sa crise de nerf lorsque Gable capture des mustangs dans le dernier film, maudit, Misfits – Les désaxés (The misfits, J. Huston, 1961) où Norman Jeane perce Marilyn en un moment de vérité d’une rare intensité comme un documentaire sur l’actrice. Cette scène n’est pas présente dans Blonde mais d’autres crises de nerfs y ressemblent fortement. J’ai appris sa relation à la Jules et Jim avec Charlie Spencer Chaplin jr et Edward G. Robinson jr, des rejetons de célébrités délaissés par leurs pères.

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/sans-oser-le-demander/blonde-de-joyce-carol-oates-qui-a-tue-marilyn-7600757

[Manuscrit Sales rêves] Feuilleton 6

Fumer des cigarettes indonésiennes aux clous de girofle échappées des tsunamis pour chasser le moustiques-tigre – !Pas le baume© – porteurs de pathologies. L’amour, c’est comme une cigarette selon la Vartan-aux-dents-du-bonheur. La nicotine protègerait du Sars-cov-2 selon l’auteur de L’homme neuronal[1]: les patchs de nico sont dévalisés, Sunday morning – live ; le cow-boy de Marlboro® est mort ; le lobby du tabac se cantonne à la e-cigarette=vapoteuse. L’ambroisie invasive, suite à la danse de la capitale en kimono, sature le système ORL.

Papillotes[2] et billets doux vers la place d’hétéro avec sa Société d’études psychiques, après la rue de la do-Ré, avec chère fontaine, destinée à une autre ville – Bordeaux refusa la fontaine chère de Bartholdi bâtie sur celle de Moreau, identique à celle dans l’Avenida 9 de Julio à Buenos aires, elle-même construite sur celle du dragon de Piot -, par l’auteur de la Statue de la Liberté tant bafouée[3], déplacée comme les temples d’Abou Simbel à cause de Buren, l’homme aux rayures pas rayé de la liste des artistes d’Etat, biaisé tant l’eau manque, perdant son procès pour sa demande de droits photos et réclamant la réhabilitation au burin impliquant l’onéreux nettoyage quotidien d’Onet® – ballet de voitures-balais – aux grands frais des contribuables bastonnés. Loin far niente breton en fog au soleil-smog sur chaises longues des Wet legs, dolce vita sur la place – jadis, hélas.

Tôkyôto©. Vivre ville, vite ! Jumelée avec une bourgade de campagne d’hexagone, des villes internationales – permettant ainsi de réviser, en dehors des guerres, sa géographie -, le satellite de Saturne. Tomber dans le panneau : ___ 545 km, Théia sous Gaïa, Ebola P4 100 microns, covid 19 géocalisé 1m patient 0 à R0 3,3 plus asymptomatique qu’asymptotique, Lune ****** km, cité nano-, zetta-, yotta-, ronna-, quetta-, Amas de la Vierge, Laniakea, Alpha du Centaure y années lumières, Bételgeuse, c’est pire. Comme Laàs, cette principauté béarnaise – jumelée avec 4 000 micronations dont Hélianthis, une principauté créée en 2013 à Blaye (Gironde) -, avec ses panneaux dont l’un indique « Vous êtes ici au centre du monde » et d’autres mentionnent les distances jusqu’à Pékin, Jérusalem ou encore New Delhi et La Havane. Red label sur labels 5 : ville fleurie, ville connectée, ville gastro, ville géronto, ville lgbtqiabcdzqy+, ville, ville, ville. Top 10. Smart grid pour mini Smart City en Green hook, pâle imitation de MasdarSongdo®, en aseptisée Confluence tendant vers La Défense ou Potsdamer Platz® en Lego® par ses enfilades architecturales prestigieuses sans cohérence[4] : flop -, déserte darse.

N’eussent été les borgnes d’Hollywood, yeux deux admirent la paire de fleuves – croquer les brouillards de l’un comme de la barbe à papa à côté de mangeur de nuages – Igor et Grichka charriant force PVC, tritium, per- et polyfluoroalkylées=PFOS, PFNA, PFOA, PFDA, PFHxA et PFHS=PFAS=polluants éternels via fluorés d’Arkema® et Daikin®, antibiotiques et médocs, en sus de l’amiante, déversés par la troupe de Fuzz, avec des poissons morts en surface[5]. Requin Orque Dauphin  Baleine  Béluga® échoué.

Côté Igor, l’ouvre-boîte, patrimoine culturel immatériel, baisait le cul de la vieille quand le bouquineur, rarement flanelle mais astiqueur de virgules surtout quand le typographe a chié dans le cassetin aux apostrophes, porta son attention sur celui qui est en dare édité au Puits-Pelu, une grosse bouteille=un pavé – un rhinocéros=une histoire de la Chine -, une vraie drouille=panouse, un bouillon=rossignol avec cabochon qu’aura finalement déboulonné son proprio souriant. Chiner La Disparition de Perec et sa quinzaine de traductions, dont une en finnois par le traducteur Ville Keynäs, qui ne s’est pas privé de « a », un lipogramme de plus, la lettre la plus fréquente dans sa langue, mais de « ä » puisque le titre est Häviäminen, avec un pied-failli=une coquille où le e apparaît dans la boîte de Marco-râle, ce punk et libraire de la famille Canson® succédant au papetier Montgolfier d’Ardèche avec la première montgolfière qui décolla d’Annonay. Ce corsaire du quai pratique pourtant un métier inscrit au patrimoine immatériel de l’Unesco.

Sur l’autre quai, le passant a la même tête que son chien[6], gaugnes=couennes=joues comprises ; pitbull, son clebs stupide, à l’arriviste en jogging avec sa montre connectée comme un hamster se damne,  étrangle la chandelle, graillonne=despume=cramiaute=expectore un crachat=serpent=copeau truffé de virus rutilant au soleil et arrive essoufflé ; idem pour la cagole à queue-de-cheval ne se lassant point de son allure Lassie©[7] indigeste pour le concours canin grâce à l’extrait de placenta façon Fruit Chan[8], vendu par Fuzz, appliqué sur les pattes-d’oie et autres rides ; l’autre, mirzales dorées, accoutre l’azor Mirza, blessé par Médor, d’un gilet jaune revendicatif à cause de la lassante pluie verglaçante ; estronpicine – plus-fines=gandouses=merdes dans Snoopy dogg bag aux bords des trottoirs envahis de trottinettes[9] – que des brigades écolo Fuzz jettent dans les fleuves -, patins à roulettes, rollers – Faut qu’ça glisse – qui heurtent jusqu’à la mort, puis au resto pour la chasse au gaspi alors que des voitures-balais se concurrencent en une course digne de la Messe pour le temps présent ; les valises roulent en bruit assourdissant comme un skate – papier déchiré et tremblement. Passé l’Igor, c’est l’aventure.

A la place du chien Saucisse[10], un food truck[11]=camion de nourritures de rue=camion-restaurant=popote roulante=boîte à lunch bio façon rétro caravane currywurst à la Hopper dans Les ailes du désir, intitulé Retour vers la friture, avec VGE, habillé en Gaultier©, derrière l’accordéon comme Yvette Horner around the corner pour plus de proximité avec, entre pains sans glu, croques non binaires à la ileli, hot dog éthique de Saw 6 avec tofu soyeux, traces de coques et algues, archi Tres de mayo – On badigeonne avec (l’) amour -, relevante=moutarde synthétique[12] avec sucre inverti, avec Heinz® zwei drei, une pointe de sKetchup® du grand chef hors sol sans ses tomates extrait d’un tube de dentifrice intitulé joliment L’écume des jours de Boris Viande, sur un steack végétal concurrençant celui développé en labo grâce à une imprimante 3D. Manger-bouger. That’s all, Falk ! – Voix Sauvion – sorti du combo Colombo & Cassavetes-avec-sa-caméra-à-la-tremblante-du-mouton.

Nul banc. Rien à wallacer, Gromit© : pépie-soif. Une plaque commémorative dans une rue banale : « Ici il ne se passa strictement rien. Ici personne n’est mort. Date indéterminée. Passez votre chemin ». A côté, une plaque  volée[13] sur un mur défoncé par les racines d’arbre – comme un monstroplante© – qui se glissent dans les interstices, rue du Premier film où Fuzz a volé toutes les plaques de cuivre de cinéastes, sauf les rayées.

Festivals avec public en cosplay[14] dans un hangar – ancien abattoir art déco, méritant la projection de Le sang des bêtes, où les vaches suivaient des courbes pour moins stresser afin d’offrir une viande de meilleure qualité – devant les people, parfois des croulants hagards avec leur nécro sous le coude[15] tout en sucrant les fraises, une actrice à la peau étirée façon Los Angeles 2016 ou Brazil à coups de kobido et guasha, Cimino – dear my deer, poupée plastique avec une transformation en femme ratée, maquillage de Tuttle loupé – opéré par Fuzz comme pour Bambi Jackson après sa pub Pepsi®, postérieur à son complexe du tube=picou=blair=caillou=nazaret=chandelier=décognoir=piffard=tasseau=blaireauteau=piton=tarin dès l’enfance, marchant millimètre par millimètre avec son Stetson® et ses châssis=lunettes fumées, sur l’estrade suscitant ennui comme un crouton de pain derrière la malle, Huppert, Tip top, fait la potiche en lâchant deux mots banals. Le grimpion[16] s’improvisant en Monsieur Loyal, sans son vélo, nous met ippon vomitif à force de dialectique-à-la-évêque-d’Hippone, de jeter de la poudre aux yeux surmontés de Rimmel® en forçant la voix selon l’indéboulonnable et abstème présentateur de tv, Michel Druncker. Si – cette plaie belge – les frères Dardenne, ces cinéastes-aux-deux-Palmes-d’or-qui-dardent en utilisant la caméra avec l’éreintante tremblante du mouton sur fond réaliste de thèse catho, sont des habitués[17], nul Jean Jacques Rousseau par Jean Jacques Rousseau, ce réalisateur belge néanmoins ouvrier maçon.

Biennulles pour l’image dont les points de Kuzama. Art volatil en demi-deuil près de la Bresse : danse dans le parking, défilé des crapauds=dorelots=fieulx=abaris=flos=chiards=moucherons=QRP=babolets=péchons (de Ruby)=fabricants de moutarde=bessons=diableteaux de chœur=bocons=charipes=bougeons=fifis=grabotons=jargilles=molécules=morjons=sampille=champis, des manifestants avec panneaux ; les poules colorées dans l’ancienne usine à soie avec l’odeur de déjections de volatiles – évolutif : des plantes grasses dans le tunnelier, du jasmin et des araignées exotiques avec des toiles guidées avec une captation sonore dans des cubes translucides pleins de lumière UV. Les médiatrices commentent comme elles peuvent. Relationnel, paraît-il. Un squat arty tenu par un marchand de tapis=d’art coté en bourse avec carcasses d’avion et hommes en suspension et femmes empaquetées en shibari avec cire chaude de bougies sur le corps.


[1] Changeux ne devrait se consacrer, pour changer, qu’à la peinture française du XVIIe.

[2] A Tôkyôto© tout semble avoir été inventé comme les ralentisseurs, les plaques d’immatriculation, les vélos en libre-service, le jorkyball de Paniez mélangeant squash, jeu de ballon, billard et cardio.

[3] Déjà le premier projet en Egypte pendant la fameuse campagne coloniale après avoir battu les mamelouks de l’Empire Ottoman, le retour de flamme de l’amiral Nelson, la rébellion des arabes du cru qui sodomisèrent et décapitèrent quelques soldats prisonniers, Napoléon en pratiquant de même en symétrie.

[4] Le maire – que Collomb repose en pets – marque de sa patte au forceps comme Staline-Mao-Hitler au pied des laids Antigone, Polygone de Bofill en ville médicale septantenaire en Septimanie.

[5] Selon Sans pitié du pays qui clame ses matins calmes où règnent ichtyophages « : !J’aime pas les pouascailles, t’as l’impression que les flottants se foutent de ta gueule et qu’ils racontent des conneries. »

[6] Physiognomonie de Lavater précédant la phrénologie de Gall dont il est resté la caboche à X=la bosse des maths=la bosse des affaires. Ces fumisteries, dont le mesmerisme ou magnétisme animal, ont inspiré Balzac (Louis Lambert, Ursule Mirouët), Barbey d’Aurevilly (Une histoire sans nom), Nerval, Baudelaire, Musset, Saint-Point de Lamartine (Le Tailleur de pierres), Camille Flammarion (Stella), Twain (Tom Sawyer), Dumas (Le collier de la Reine), Sue (Les Mystères de Paris) et bien d’autres.

[7] Chienne colley, héroïne d’un roman d’Eric Knight, paru aux Etats-Unis en 1940, Lassie, chien fidèle(Lassie Come-Home) a connu un grand nombre d’adaptations au cinéma et à la télévision.

[8] Eternelle jeunesse comme Paloma chez Boro ou la Báthory-Seyrig en Lèvres rouges dans un bain de sang de vierges en Ostende-en-Carpates, Flottez hippocampes droits comme des i Laissez-vous porter par l’extrême obligeance ou les escalopes sur les joues de d’Ormesson à l’affût.

[9] La mode revient comme les comètes depuis Oort avec yoyos®, Rubick’s cubes® ou jupes et pantalons, chemises ou vestes façon bûcheron, à carreaux, pantalons à pattes d’éph’.

[10] Candidat aux municipales à côté d’un aristocrate libertaire proche du benjaminien et dramaturge belge Bruno Teckels.

[11] L’ancêtre provient des fournaises à pardon=fours mobiles des oubloyers qui, dès 1270, se sont constitués en corporation afin de vendre des oublies=gaufrettes de pâte légère sans levain entre deux fers portés au rouge.

[12] Cette denrée rare, comme l’huile de tournesol pour la friture et les frites ou les pois chiches, depuis la guerre en Ukraine, générant nombre de manifestations qui dégénèrent : « ventre vide n’a pas d’oreille ».

[13] Hitch à cause de The lady vanishes, où ni Trop d’ski tue le ski ni Paul en ski, à cause des féministes.

[14] Free hug et léchéors en règle à en avoir des aphtes, même la brosse à reluire provient de chez Alexandre®. La merveilleuse famille du cinéma : 2 membres du métier, dont Mocky qui s’en offusqua, présents pour l’enterrement en été de Bernadette Lafont.

[15] Leur (auto)bio, écrit souvent par un nègre, se nomme frigo®=chambre froide.

[16] Bobo de banlieue, pour des raisons politiques et non de salaires – mensonge initial sur le story telling, devenu nabab, Yes, we Cannes ! sur fond du lassant extrait en boucle du Carnaval aux animaux de Debussy.

[17] Jusqu’à être une solution de repli l’année de la pandémie ou du rat de métal.


[Manuscrit Sales rêves] Feuilleton 5

Tôkyôto© calling to the zombies of death. Sur les quais, échappée d’hypermarchés, la zombie walk®, avec ses maquillages dégoulinants à cause de la chaleur d’un « été tentaculaire » en chantant Thriller, sans le rire final de Vincent Price, puis Kiss puis Rob Zombie, grâce à la fanfare métal non létale, concurrencée plus loin par un orchestre d’asthmatiques, les Tambours des Bronches, a un boulevard ouvert grâce à bison futé sur la plage dynamique & éphémère[1] pour nudistes façon Zizipothéque au Mexique Fuzz en Body snatcher de consommateur – ils sont partout car la vérité est ailleurs ; en Écosse, les gosses précoces écossent=égoussent les cosses d’où Le village des damnés d’enfants-roi tyranniques avec leur portable, bélials et autres goules.

Rudologie. Retour à la niChe, empire du milieu en pire : les pays pauvres, sous la férule de Fuzz, renvoient en boomerang les équevilles avec force plastique polluant et polymerdes jusqu’aux vraies Fosses des Mariannes, explorées par le Cameron d’Abyss, et à l’estomac du gros poisson Jonas ou autre cachalot blanc. Acab© devient vert. Les sous-traitants chinois abdiquent, le nez de Pinocchio© grandit. Le plastique, c’est fantastique. L’invention des polymères, dérivés du pétrole, nommés « plastiques » date de 1907. L’inventeur Léo-le-belge du bakélite®, trop poly pour être honnête, n’est pas excusé par le divertissement offert par Plastic Bertrand©. Tes petits seins de bakélite qui s’agitent. Ça plane pour personne.

Du rififi à Tôkyôto©, Fist city de Loretta Lynn, Fuzz and co : L’affaire du courrier, Fouché et sa caisse noire pour la police grâce aux frères spoliant les joueurs, Bono beau « l’anar’ »[2], jusqu’aux juges assassinés[3] en passant par le fameux gang avec Momon qui lit le Vidal, P’tit Louis le Saucisson brioché, l’enlèvement de fils, d’une fille de, Nenœil ou Pierre Rémond tombé en 69, le convoyeur fuyant avec le butin – les 2,5 millions manquants 😕 C’est votre dernier mot ? -, le braquage, avec enlèvement de la fille du convoyeur, qui a de la Suisse dans les idées malgré dénonciation anonyme, le super flic décoré, après Javilliey, amateur de Living on the edge et Walk the line, passant la ligne rouge jusqu’au schtard quand la réalité dépasse les frictions.

Une société de divertissement, propriétaire de la rue Glosée, abandonnée en hypercentre[4], organisant des meetings en dépassement de comptes de campagne pour le Président de la République élu, pourtant avalisés par un énième comité Théodule à la solde qui reconnut des falsifications antérieures pour le bien de la république – passé crème. Malheur aux vaincus. Fact-checking des fastes. Selon un cocktail, des Cocteau[5], Les français sont des italiens de mauvaise humeur ; la corruption est ici plus diffuse à tous les niveaux – rien qu’à la Commission municipale des balmes ou à celle des cadrans solaires.

Tout s’arrange. Surtout pour les riches, entre eux, qui se réfugient avec leur yacht [6] dans l’île libertarienne de Disneyland®, fabriquée par un néonéolibéral, petit-fils du Chicago boy et Nobel Friedman, créateur de The Seasteading institute®, autour de Selgaverland, selon le modèle de milliardville par Verne[7], où l’opticien constate que l’Atol® de corail a blanchi[8]. Humus pour Fuzz. Façon Houdini, Ghosn is gone se fait la malle dans la housse d’un volumineux instrument, autant en apporte l’orang-outan alors que la primatologue étudie les bonobos : il se prépare pour les JO de Tôkyôto©, souvent supprimés – fatalitaire cause Tu n’as pas tout vu à – picadon – Hiroshima réplique pour qui épèle en phonétique, – BOUM – Nagasaki, in Godzilla we trust, tsunamis activés par Fuzz, Fukushima – sagai : eau dans feu dans eau – et tout le tremblement – constipés Tôkyôto©[9] et Kobé sur dos de poissons-chats=silures – et ses répliques. What’s up, Doc ?

Dessus gassouilles=crottes=gabouilles=orphelins de muraille d’happins=cagne=!ouah ouah, après avoir fait traîneau-trompette, chaque pierre est une carotte de temps[10], déjà icicaille sévissait la guerre des religions. Tôkyôto©, ville palimpseste où tout est alluvions et allusions. Féroces protestants[11] dans l’hexagone – qui aurait 4 coins au pays du rosicrucien Descartes, celui de la « rationalité ». Selon Philippe Bouvard et Pécuchet, les ponts ont été funestes pour le duc d’Angoulême. Fouché imposa le mitraillage de la plaine. Les mathevons et la Révolution, auparavant durement réprimée, pas finie, en monarchie républicaine où le phrygien perd ses élytres et les traits d’union, frigide équilibre pour l’ELF (Egalité-Liberté-Fraternité), où pointe enfin sororité, bafouée chaque seconde – 119 : elle a été tuée car la soupe n’était pas assez chaude – et invoquée tant que dure dure. C’est la fin du contrat social et du pacte de sécurité – Léviathan lave plus blanc, lévite depuis la sécurisation autonome par la blockchain et l’intrication quantique appliquée à la cryptographie. Les fossés se creusent en abîmes. Emargent les sans-culottes qui émergent en #guillotine même si les cahiers de doléances du grand débat terminent dans l’invention du fameux préfet=poubelle.

Haut du panier de crabes. West Point Godwin. L’élite, multiple et différenciée, pantoufle jusqu’à « conflicter », se reproduit en toute consanguinité dans les rallyes pour enfanter après Tcherno[12], têtes de pine=Spoke=Vol 714, « le meilleur d’entre-nous » ou La tentation de neVise – dans le placard doré du conseil constitutionnel après la direction de Bordeaux Chesnel®[13] après quelques lacunes, condamnation et exil québécois mais Dumas[14], n’était pas un saint non plus, avec ses pompes Berluti® en peau de ______ à la peau des fesses, ses œuvres d’art issus de vols, comme Malraux[15], sa « putain de la république », La fille sur la balançoire de Fleischer, La fille coupée en deux de Chabrol, qui balance sur La garçonnière, tout comme le responsable mais pas coupable de La tête et les jambes Fabius Pictor dédouané[16] par ses pairs=cour de justice de la réplique en jury croupion pour le sang contaminé, pas plus que Debré[17], le porte-flingue du Chi contre Sharko se découvrant comme auteur de polar puis comédien sur le tard -, avec cuillère en rageant, lobbyistes, politiques et journalistes avec crâne de Toulouse win-win – Sky is not a limit I’m bad Common à l’accordéon par Yvette Horner en Gaultier® – issus des mêmes grandes écoles sélectives, mandarinat éculé, favorisant l’endogamie, dit le creuset avec l’ascenseur social en panne malgré la tyrannie de la méritocratie, tropdicieux=rentiers qui multiplient leurs gains – crémasters & chrématistique – dont ils ne peuvent profiter en une seule vie tel Jabba le Hutt. Toujours, toujours plus=pléonexie. Malgouvert. Capitain Kirk, Entreprise connaît pas la crise, avant d’être envoyé dans l’espace par une société privée déclenchant overview effect=spleen, chante la reprise de Common people dans Different Class de Jarvis Cocker de Pulp inspiré du film de Redford et son Ordinary people, maigre consolation. Mortifère égalitarisme. Pothain, martyrs en mémoire. Irénée renaît rue des Martyrs (Les 400 coups puis Arditi).

Autown. L’empereur – beau comme quincaillier –  incarné comme son ongle[18] pour onymantie[19] – par Laughton, Quasimodo-mais-presque qui a été marqué en B comme bancanne=a l’as de carreau dans le dos=un moule à melon=un porte-belle=est échappé d’Esope dans l’inachevé « von » Sternberg, film A, gambille=bancane=cloche=fait cinq et trois font huit=est tortillard=zigzag=fait six et trois font neuf : la table, cette pierre de Rosette comme le jésus, sous les vignes renaissantes, rouges d’automnes autonomes, sur La colline [qui] a des yeux ; les gaulois sont représentés par paquets. Untel a reconnu son pied amputé en dessous de Vivre nuit gravement à la santé. Vivre tue. Etre au monde pour mourir. What’s up, Doc ?

Pour qui sonne le glas ? Eglise éclaboussée par la pédophilie de Fuzz et le silence d’archipointus=prunes de Monsieur=grands bonnets=évêques[20], dont un, manipulé, condamna La dernière tentation du christ de Scorsese, dont un autre, définitivement disculpé et relaxé en appel, finit, Grâce à dieu, tout de même par démissionner – Hosanna Ozon. Merci pour ce moment ;-(


[1] « On dépensera beaucoup moins d’argent, au lieu d’amener la mer à Tôkyôto©, en transportant Tôkyôto© au bord de la mer. » (A. Allais).

[2] Ce réparateur de voitures, ancien chauffeur, paraît-il, de Sir Doyle, dont l’enseigne du garage à Saint Saint clamait « Vous pouvez tous crever ». D’où l’expression « macache bono ».

[3] Spectateurs criant ?-! SAC, SAC, SAC sur les bips du film censuré de Boisset, avec le météore Dewaere et la mannequin reconvertie Clément (.) (.) ( ‖ )1.

1 La même, nue, dans la scène de la colonie française dans Apocalypse now redux et final cut, versions pour financer la cuvée de vin Director’s cut d’un Coppola soi-disant Renaissant.

[4] Où, PAN dans Le Bec, officia un chef étoilé entubé, expatrié en Chine, par la classe politique locale via Fuzz alors qu’un ancien maire, devenu ministre pour services rendus, alors que les locaux complotaient dans son dos, emmenait tout le gouvernement se sustenter du HTV=homard tête de veau de Têtedoie sur les hauts du pain de sucre.

[5] Préfacier, en tant que dépendant de drogues et de soirées ou salons et amateur de menthe poivrée, de Les cocktails sont un jeu d’enfant de Michel Oliver ou guide de la lèche-babine.

[6] A noter que celui de « T’en fais pas, » Jeff « Bisous » Bezos d’Amazon© – qui s’engagea à raquer pour la reconstruction -, impliquait la destruction d’un pont historique Dans le port d’Amsterdam pour mouiller au large, dam, ce en quoi, damned, la population, AmsterdAmer, s’est heureusement rebellée. Un autre, le plus grand du monde, chinois, a dû être détruit dès sa construction à cause de la faillite de son entreprise lors d’une énième crise aussi rapide et intense que les vagues de canicules.

[7] Cet homo refoulé, misogyne, dramaturge raté, antidreyfusard en ville négrière, auteur du célèbre Géographie de la Corse.

[8] Confirmé par les satellites sans déterminer toutefois s’il s’agit d’un animal, d’un minéral ou d’un végétal. Cheveux longs, pensée courte mais porte-monnaie plein. De la musique permet le retour des poissons qui revitalisent lesdits coraux.

[9] Selon Albert Londres dans Japon (1922), la ville est une « cité décourageante », « née de l’union d’un typhon et d’un tremblement de terre ».

[10] Il était une fouille …Tout paysage est horizon des évènements, des sols – passé-présent-futur -, non en flèche mais en vis platinées avec plurivers simultanés ou une pelote de laine, comme la face du Mont Cindre, Sainte-Victoire, sans éoliennes, par Cézanne, Bibémus papam et, au pied, château de Vauvenargues de Picasso, avec le spectre qui rôde de la bataille des Cimbres comme la rizière de Sekigahara où gagna l’armée de l’Est, sous les couleurs de Tokugawa Ieyasu.

[11] A noter que, de l’autre côté, la croix dite de Lorraine était l’emblème des ducs de Guise – dont celui assassiné qui fut le sujet de l’un des premiers films de fiction du cinéma -, responsables, avec d’autres, du massacre de la Saint-Barthélémy, nom gravé dans une île caribéenne ou paradis fiscal où est enterré notre Johnny national – mais pas pour payer les impôts.

[12] Le nuage radioactif de Tcherno s’arrêta à la douane sans se faire de bile grâce à l’anticyclone sur les indications de Fuzz, aucune condamnation. Autour de la centrale ukraignos, pourléchée pendant la pandémie par un incendie à cause de la sécheresse, le tourisme du tour-operator Fuzz se développe grâce à la série US aboutissant à des jeunettes à poil en selfie, avec atomes crochus et plus si affinités sur du deutérium 235 sur fond de survivalisme.

[13] Nous n’avons décidément pas les mêmes valeurs argue la voix de canard Chaban et sa Nouvelle satiété.

[14] Que Genet, avec le circassien et romanesque Romanès, avait dévalisé en grimpant sur le mur dudit baveux=blanchisseur.

[15] Celui qui a suivi La voie royale a souvent joué à Stop ou Angkor avec case résidence surveillée option sursis.

[16] A noter que malgré son réseau, son pouvoir et son ascendant, Olivier Duhamel, constitutionnaliste, professeur à Sciences Po, président de la Fondation nationale des sciences politiques et du très sélect Siècle, avocat associé du cabinet de Me J. Veil, revuiste avec Pouvoirs, directeur de collection chez Dalloz et journaliste, rentre dans la Série noire en ayant été dénoncé dans La Familia grande de Camille Kouchner pour pédophilie sur l’un de ses beaux-enfants issus de Kouchner. Duhamel ne convoitera donc plus un poste au Conseil constitutionnel.

[17] Vilain petit canard de la dynastie républicaine dont Carrington fut le premier sinistre d’une République qu’il créa de toute pièce, à partir d’Uriage, avec cette école de hauts factionnaires, l’ENUL devenue ISPE où ils ont tous des problèmes psy. Constance Debré, auteure avec peau sur la table, est la fille du vilain petit canard de ladite dynastie. Mise en abyme.

[18] Il fera donc l’objet d’un livre d’autofriction à succès►poche►occas’►vide-grenier avant le pilon en un laps ou circuit court de la non-création pour terminer en essuie-tout, papier toilette ou carton.

[19] Ainsi que la libanomantie ou art d’interpréter l’encens comme Mademoiselle Lenormand.

[20] « Par la bérézina le vit d’un archevêque / au fromage a donné le nom de Pont-L’Évêque », répond à poétride, ce Scève, selon certaines thèses – dont celle qui s’occupe de l’édition en Bibliothèque de la Pléiade -, de la Belle cordière, férue de clystère barbarin : « d’or barbarin et d’argent de copelle ».


[Manuscrit Sales rêves] #épisode 4

Rite icigo : tout être vivant porte son faux visage ou son masque[1] comme le masculin Fuzz – épidémies, air filtré taxé à des points de recharge – pour devenir une personne. Avant Trinità voire Django par le réalisateur polyflemmes, foi de Nemo, travaillé du cyclope ou n’a qu’un œil, où il n’y a pas de Réveillon chez Bob le flambeur, son nom est personne selon le test de Valéry ou de Turing façon moutons éclectiques !Almería chante Gainsbourg en tilde dans le désert avançant alors que les figurants provenant de l’armée de Franco s’affairent pendant que Serge se tape BB, feulant dans une version originale et inédite de Je t’aime, moi non plus tout en étant mariée au playboy allemand Sachs, aménageant, pour Bardot, rue de Verneuil dans cette boutique obscure d’antiquités dans un noir total à la Dalí – châsse d’occase=œil de verre tombant sur le toit des Galeries Lafayette® comme dans Peur sur la ville avec musique angoissante en accords plaqués de piano d’Ennio. Se méfier de celle-là, c’est une masque affirme celui qui chante La beauté cachée des laids. Boire un milkShakespeare : le monde est une scène, Fruit et Bourreur[2]. That’s all, Faulkner !

Niveau supérieur à Tôkyôto© grâce à Persona 5 royal® et ses membres fantômes. Loin Les Sims©, détecteur de psychopathes grâce aux arcanes de doute dont le 17, dans Le Ranch diavolo, western muet où pointe l’expressionisme de Ford au Carey. Tumbleweeds roulent au vent. – Théâtre antique là-haut -. A cause de l’épidémie, le pain de sucre catho sur le forum[3] défoncé par un avion – sidération, – un projet de Fuzz, gentleman démotivateur selon le réalisateur de Monsieur Fantômas[4]. Tour de métal sans Eiffel à Tôkyôto©, Beat Takeshi, ancien yakuza de toc – « rooftop, c’est top » rue du Bât-d’Argent ou Gît-le-Cœur, ce Beat hotel® avec dream machine© -, sourire Colgate® en NHK®. Lesdélices de Tôkyôto© rendent béats : des dorayaki au thé vert sencha chimique ou artisanal dans une ancienne boucherie au nom de médoc avec, entre, montagnards=haricots rouges=anko. Peu d’eau pour le gyokuro qui, après infusion rapide à température basse dans théière en fonte, peut être mangé en salade. Dojo, pour la cérémonie du thé, opter pour chaussettes trouées, afin de danser le cha-cha-cha selon Bruce Lee, et l’oubli du flavonoïde suscité, cool zen.

Se ressourcer, après être allé.e chez un coiffeur holistique, en lisant un Coelho=Paris Match, avec brume mémoire©, le nettoyant micellaire©, dans un institut de beauté pluridisciplinaire, dans un bar-spa wi-fià oxygène de diverses couleurs avec des caissons hyperbares de la marque Jackson & co© pour vieillir moins vite, sur fond d’easy listening lo-fi – Take it poeasy ! – et de poissons mangeurs de males mules=durillons, agacins et cals sur pieds – rudes de stress – ensuite desangoniés=massés, en activant les neurones Mrgprb4=C-tactile►neurones GPR83 en moelle épinière►tronc cérébral►aire tegmentale ventrale►dopamine dans noyaux accumbens, comme dans Épouses et concubines, par des fétichistes haletants façon Tarantino travaillant à la flamme moyenâgeuse ou Papa Schultz was a rolling stone. Préférence pour un chauffeur de seins de danseuses en Louboutin® du Crazy Horse comme l’inventeur de la Baronne de la Tronche-en-biais©. Derrière, comme tous crient au génie, le corps cryogénisé de Bowie à côté de celui de la Belle au bois dormant, la réveillez pas, pas avant 2043.

Comme, come, dos massé par les pierres chaudes, aller tuer le temps long avec Jenkins-Marguerite, l’épouse du citizen Hearst qui la contre-aime tant, s’égosillant-faux-à-se-tenir-les-côtes sur l’air de la Reine de la nuit de W.A.M, ce maçon opératif, à l’opéra rénové par Nouvel, où chanta ce baryténor, velu de poitrail, en reine pour La reine des neiges et cette soprano, sur laquelle il est analysé par Perecquation, l’étude intitulée Experimental demonstration of the tomatotopic organization in the Soprano (Cantatrix sopranica L.), du baroqueer, avec les sièges chers[5] et ruineux pour le dorsal – mal du siècle mais lequel ? – La musique est de la mathématique transformée en sons combinée avec de la physique -. Une ministre, porteuse de la loi pour le mariage pour tous, caillassée par les amis de Fuzz lors de la création de Claude[6]. En haut, la 9e muse[7], Uranie, s’est éclipsée, volée pour plus de symétrie, par Musidora© sur une mazurka célèbre du Second Empire, amie très Roques ‘n rollmops de Fuzz et de la rockeuse Barbara dans L’enfant laboureur de Sheller, puisque persistent au-dessus du méridien des traces de soie noire de Poiret dans la ville des soies. Une sculpture du cyclope Polyphème à trois yeux par l’ignorant Pascal. Ô fantasma, en latex, le maléfique Musidor multiplie les amants effrénés du même sexe par barebacking. Voguer en Cruising. Un vogueur en procès à cause d’une grande roue déboîtée lors de la vogue des marrons. Aimez-vous Brahms Stoker ?

Pilotisée sur uligineux : ville en vrille. En Tetris©, des habitations apparaissent façon Abeille dans Les jardin statuaires, comme champis après Tcherno, disparaissent, réapparaissent autrement au gré – nombre réhabilitations  en urbanisme circulaire où le réseau concentrique se fonde sur un schéma infrastructurel rigoureux, composé de radiales et de circulaires, de zones urbanisées se développant de manière homogène dans toutes les directions : la population aisée, entassée d’haut en shrinking city dans des cubes en perspectives Giotto à digicode® en mycélium d’hypercentre en urban core – La forme d’une ville change plus vite, hélas ! que le cœur d’un mortel[8] -, spécule, à côté d’apparts vides, loués pour compléter le salaire ou financer la retraite chiche ou remplir les rentiers=pains plus que cuits malgré les impôts lourds comme l’eau ; la ville est gluante comme une méduse inverse qui étend ses tentacules ou des mangroves pour rétention d’eau, où les pauvres s’éloignent en vases communicants – avec la montée d’eau (réchauffement climatique), les riches de bords d’eau envahissent le centre gentrifié comme, en US, dans The hope six demolition project, où les pauvres, désormais exclus, sont jetés en pâture aux inondations malgré les plans de prévention des risques peu révisés. ExTreme, Katrina, Ida. Des quartiers de structures modulaires, réversibles=pavillonisation par chalandonnettes érigées à coups d’imprimantes 3D en montage parallèle sur nouveaux terrains artificialisés se boboïsent, à partir d’habitat intercalaire et du chanvre comme isolant, avec brigades privées payées rubis sur pieu.

Babylon zoo en Gomorra. Omertà comme un tire-moi-d’ssus sans mascarpone. Témoins à décharge. La pieuvre Fuzz pénètre toutes les couches de la société. Elle se nourrit, entre autres, d’ordures, de souillures, de traitement et de recyclage d’homo detritus pas Rigolus©. Kiss kiss kiss : 30 000 t/j à l’île de Fresh kills à Tôkyôto©, dont les décombres du 11 septembre avec 4527 restes humains dont 300 identifiés, bioremédié=recyclé, entre soft et hard kills en parc à t’aime Freshkills – Recycle the Land, Reveal the Future tapée à l’Underworld. Et cet énorme chant de l’humaine rumination chaque jour commencée, chaque jour repris à l’aurore, par la benne de sa rue, c’est, le chant, qu’on le veuille ou non, de l’irréductible communauté organique des hommes de son temps. Tous pareils devant la gueule énorme et magnifique de la benne, tous estomacs devant l’éternel[9]. Des décharges sauvages puent et pullulent, un maire tué. Dévaloirs dégorgent. Scarecrow s’épouvante. Grèves des poubelaïres – déchets, encombrants ou non -, suants et puants à l’air libre – rats, surmulots, cafards et autres, un nouvel écosystème. Odeur pas nice. Retour des négs de petit croche=chiffonniers, friands de regs’, vie en bémols plus que sinusoïdes – tendance plus baissière qu’haussière – ou flexuosités, piochent dedans.


[1] Image est masque de mort en cire.

[2] Comme l’écrira le sudiste US et alcoolique d’us, scénariste à Hole-y-wood, le Nobel Bill posant pendant sa jeunesse rif-raf en faux lieutenant blessé de la R.A.F. pour faire comme.

[3] Pas d’expiation du massacre de la Commune comme au sommet de Montmartre avec cet os de seiche pour touristes, plus que « blême comme un navet » (Paris au mois d’août, René Fallet) ou « crâne de ville orné d’un panache blanc » (Les XX arrondissements de Paris, Léon-Paul Fargue) pour boule à neige.

[4] Après Apollinaire, Cendrars, Jacob, Cocteau, Aragon, Breton, Artaud, le baveux=lessivant=habillé de noir=avocat=lessiveur finissant dans une roulotte, Moerman, ce versificateur belge de Fantômas 33 et filmeur de Monsieur Fantômas (1937) avec musique de Ledent pour 6 saxophones, pose sa chique dans la roulotte -, avec Jean Mi – pronier=daron du figurant dans Les  diaboliques de Clouzot d’après Barbey d’Aurevilly : Lidl® des jeunes, ?- : Quoi ma gueule finissant en sculpture de Lavier, une Harley® sur manche de guitare causant la furie des bikers – Eh dis donc David fils de pute – en Fantômas en smoking et chapeau claque. Le tout doublé de La complainte de Fantômas de Desnos, ce poète radiophonique, mort du typhus dans les camps, interprété par Bashung dans L’imprudence. Rappel pub :

  • FANTÔMAS !
  • Vous dites ?
  • Je dis … FANTÔMAS !
  • Cela signifie quoi ?
  • Rien et tout.
  • Pourtant. Qu’est-ce que c’est ?
  • Personne. Mais cependant quelqu’un.
  • Enfin que fait-il ce quelqu’un ?
  • Il fait PEUR.

[5] Autant que ceux de la femme de l’architecte de la BNF-où-les oiseaux-s’écrasent-contre-les-vitres avec ses travelators, pas loin de ce centre psychiatrique de jour amarré, L’Adamant, et de la BM-aux-alentours-de-Tôkyôto©.

[6] Badinter-Hugo-Escaich-Py d’après Claude Gueux d’Hugo.

[7] Les Muses, « Illustres gueuses du Parnasse », avec la robe « coupée au cul » (Oeuvres de Maynard, Paris, Courbé, 1646) : dépenaillées et courtes vêtues.

[8] L’hautboïste, l’air de rien, brasse du vent comme un homme politique, bât, bas de l’air en maniant du badelaire comme Baudelaire qui, poète dit maudit, battait de l’aile, tel L’Albatros. Crénom ! Fargue ajoute « Ah ! l’urbanisme va plus vite que la lumière ». (Léon-Paul Fargue, op. cit.).

[9] Duras, M. Madame Dodin. Paris : Gallimard, 1954 in Duras, M. La cuisine de Marguerite. « Les poubelles » de Madame Dodin Paris : B. Jacob, 1999. p. 61